At night, two shadow [part III]

La demoiselle, après avoir passer la porte, descendit du dos de son animal. La femme derrière elle commença à parler, à dire ce qu'elle comptait et autre. Aiko n'avait rien à dire. Lorsque Saru lui disait qu'elle voulait entrer dans les forces d'élite de Tsuki, la jeune fille aux chaperon resta neutre, elle n'avait rien à faire des forces d'élite, pour elle c'était juste un moyen de paraître un peu... comme dire? hautain... avec les autres. De toute manière elle n'avait pas à juger, elle ne connaissait pas cette femme.

Je ne suis que Chuunin... ce n'est pas dure de battre ce grade.

Après quelques minutes, après avoir traversé une rue bordé d'habitation, elle arrivèrent devant le château du Kage. Toujours aussi, comment dire... motivé? ;c'est de l'ironie bien sûr; la jeune Mizuno releva son chaperon quelques instants pour que les gardes la reconnaissent, elle sortit son bandeau qu'elle ne portait jamais et l'attacha au coup de Kiyomitsu. Une fois le bandeau vue et le visage de porcelaine reconnu, les deux femmes passèrent la porte.
Aiko s'arrêta, il n'y avait aucun bruit. La demoiselle regarda celle qui l'avait suivi depuis la port.

Vous y êtes.

Elle s'inclina et alla contre un mur suivi de sa panthère. Elle resta là, à attendre la venu du Kage, qui semblait se laisser désirer. La jeune fille colla son dos au mur, elle remit son chaperon sur son visage et baissa la tête. Il n'y avait aucun bruit dans la salle, la Tsukienne savait déjà que l'autre femme aller à nouveau parler. Ce n'était pas méchant, mais parler était vraiment un handicap pour la gamine. Elle n'avait, d'habitude, jamais besoin de parler. Dans son regard tout ce voyait, mais son regard, il n'y avait pas grand monde qui y avait le droit.
Le Chef du village caché du Croissant de Lune, elle se demandait ce qu'il allait dire. Elle n'avait aucun doute sur les capacité de Saru, mais quand même c'était une inconnue du village. Et puis surtout, même si elle semblait "gentille", avoir une Sensei n'était pas du goût du jour d'Aiko. Pourtant elle n'aurait pas le choix, elle serait obliger d'obéir à quelqu'un d'autre que le Kage.

Saru suivie Aiko jusque dans un grand palais qui servait de résidence au Tsukikage.ce n'était pas tellement un palais, plutôt une énorme chateau en pierre et Saru s'y trouvait actuellement dans le hall principal.Aiko avait dite à Saru que son grade était celui de chuunin, un grade intéressant mais Saru en voulait encore plus, certe c'était un peu trop demandé mais elle se trouver largement au dessus de la moyenne.

:Aiko, merci de m'avoir acompagnée jusque ici, bon maintenant il faut que je trouve se **** de Tsukikage, car moi je veut rentrer dans mes fonctions le plus vite possible.

Saru avança vers une femme qui était assise à son bureau en train de rédiger des parchemins.D'ailleurs Saru n'avait pas remarquée cette femme plus tôt, sans doute venait elle d'arriver, ou même que c'était une hallusination...bref Saru avança en direction de la femme qui était en fait une secrétaire sous les ordres direct du kage.

:Bonjour, je suis venue voir le kage pour lui formuler une requette, j'aimerai lui demander si moi Kirisaki Saru pourrait recevoir asile dans son village.

La secrétaire nota se que Saru venait de dire sur un bout de papier, puis elle disparue comme par magie .

:Elle à interêt a me ramener le kage elle !

La femme revint dix minutes plus tard pour dire que le kage n'était pas disponible mais elle avait transmit la demande de Saru.

:....Bon aiko vient ont se casse, je propose que l'ont aille s'amuser un peu, allez ont va au terrain d'entrainement !Je part devant tu me rejoint quand tu veut .

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