Nom de l'arme : Orphée aux enfers.
Descriptions de l'arme : Une grande cithare (1M30 en longueur) en bois et métal que Nova utilise en la posant sur ses genoux, il revêt pour en jouer des gants de soies noirs dotés au bout de fines griffes d'aciers.
Elle possède 50 doubles cordes. Un trou sous les cordes permettant l'amplification du son comme sur n'importe quel instrument à corde pincé appelé la rosace. Un large flanc arrondie appelé table d'harmonie.
En face, de l'autre côté des cordes sont positionnés des touches, certaines des cordes passent au dessus alors qu'à l'opposé certaine cordes passent au dessus d'un vide. Ainsi le son peut être doublé, deux mélodies peuvent être joué en même temps comme pour créé un accompagnement. Des chevilles permettent d'accorder.
Elle est la combinaison de son savoir d'inventeur et des connaissances qu'il à ingurgité quand il était à Oto, sur l'utilisation du son comme arme.
En résulte une arme de portée qui au fortement des cordes peut avoir différent effets. Soit projeter dans l'air une vague sonore capable de découper le métal, soit utiliser le pouvoir des notes afin d'agir sur la réalité.
Le son possède la faculté d'agir sans vraiment de contrainte de matière, directement sur le corps ou l'esprit, ainsi il peut être utilisé en plus que pour son aspect physiquement destructeur, pour se défendre contre et même créé l'illusion.
L'instrument peut être tenu comme une marionnette par des fils de chakra afin d'être facilement déplacé et ne pas ralentir le docteur.
_Le Soutien d''Apollon_
Vague sonore permettant de percer un genjutsu de niveau inférieur ou équivalant au sien.
L'illusion semble alors se déchirer comme du papier pour laisser transparaître la réalité.
_Le Chant des Sirènes_
Genjutsu consistant à hypnotiser la cible, soit pour l'endormir soit pour l'attirer vers soit inexorablement. La victime est totalement contrainte et à la merci du danger.
_Le Deuil des Muses_
Genjutsu consistant à donner l'illusion à une cible que des mains sortent du sol et l'entraînent dans les profondeurs de la terre. S'ensuit une sensation d'étouffement et une perte de conscience.
_Le Fleuve Hébros_
Genjutsu consistant à donner l'illusion que le sol sous les pieds de la cible devient boueux, puis quelques instants plus tard liquide, un véritable fleuve au courant destructeur semble alors se déverser sur toute sa longueur.
_Le Dépit des Ménades_
Si une victime se fait emporter par cette eau imaginaire alors il atteindra un semblant d'île, si jamais il tente de sortir de l'eau en grimpant dessus, le décors changera, la cible pensera être sur une roue de torture où des mains viendront le lacérer.
Si le l'hallucination perdure il pensera même avoir été décapité et n'être plus qu'une tête jetée dans le fleuve. Peut provoquer en plus de la douleur de graves troubles passagés, une personne relativement faible touchée par ce genjutsu pourra même être persuadé de n'être plus que la tête d'un cadavre pendant quelques minutes.
Particularités :- Permet de stopper les genjutsus d'un niveau inférieure ou égal au sien.
- Permet de créer quelques genjutsus.
- Permet de créer des ondes sonores sous toutes les formes, qu'elles soient fines et découpantes ou larges et écrasantes, elles sont surtout rapides et peuvent provoquer des dégâts internes à une victime.
Rp : Inventer n'est pas chose facile, il faut déjà avoir un esprit développé dans ce sens, ensuite il faut avoir de la chance, et surtout il faut soit même savoir appliquer ce que l'on à dans le crâne. Nous sommes les seuls capables de concrétiser nos pensées, c'est bien là le plus difficile car nous avons tous des bribes de génies. L'important c'est d'être assez bon pour pouvoir un jour se lever et dire, je vais commencer, je vais essayer, je vais apprendre et je deviendrais le meilleur. Regretter éternellement, voilà ce que tant d'esprits aux grandes possibilités passent leur vie à faire, regretter de ne pas avoir commencer plus tôt, et ne jamais commencer.
Moi, j'ai passé ce cap, je suis maintenant considéré comme un scientifique, un grand de ce monde, méconnu, mes méthodes parfois rejetés par ceux qui se limite à l'éthique, mais reconnu. Parlons en de cette éthique, celle qui dit qu'on peut gaspiller des vies dans des guerres pour obtenir de nouveaux acquit fragiles et parfois bien loin de l'idéalisme humaniste, et qui décrit, qui traite mes expériences de tortures alors que si nous nous y penchions, nous pourrions déjà atteindre les sommets de l'Absolu.
Les gens ne sont pas encore prêt. Moi même mes restes de l'évolution m'empêchent encore de dépasser les limites de mon corps. Je suis condamné dans cette prison de chaire alors que pourtant j'ai la clef pour ouvrir la porte.
Passons, aujourd'hui j'expose un instrument, c'est donc un moment sacré car nous parlons musique. Comme quoi je n'ai vraiment pas perdu mon temps, ni la main, je remercie une bonne mémoire et quelques bouts de papiers.
Une cithare, voilà mon arme. N'est-ce pas bien plus classe que toute cette barbarie que nous rencontrons. Ils écrasent, crament, broient. Moi je coupe droit.
Une arme de portée qui plus est, une arme à la lame invisible qui sera vous surprendre, ou peut être ne vous laissera-t-elle pas le temps de l'être.
Le son est comme le temps ou l'espace, un pouvoir qui dépasse notre compréhension mais que nous pouvons tout de même vulgairement manier. Sûrement si nous survivons, atteindrons nous un jour les prémices de la maîtrise, sûrement aussi irons-nous trop vite pensant être devenus des entités et laissant le chaos rebondirent contre les parois de la matière.
Assez d'exposé, assez de théorie passons à la pratique dangereuse, je lève le voile.
Je vous présente une nouvelle preuve de ma supériorité, à noter pour mes ennemis :
"Orphée aux enfers", mon épée à moi, ma noblesse.