Pacte et puis rencontre entre Karage

Gnash frappa et rentra dans la piéce accompagnée de Koyuki, il tenait fermement le papier que lui avait confié son Mizukage, si fermement que même si on le tuait sa main ne s'ouvrirait pas... La première chose qu'il remarqua c'était le vue qu'on avait sur le village. On pouvait tout voir d'ici, rien ne pouvait échapper au chef du village. Après une examination rapide, Gnash posa son regard sur la fille qui se tenait assise au bureau. Elle paraissait assez petite et mince, ses cheveux était bruns et ses yeux verts pâles.. Son regard était constament fixé sur un point, Gnash prit peu et penser que quelque chose n'allait pas elle s'était peut être évanoui. Puis la jeune fille fit un signe de vie, elle posa ses mains sur le bureau attendant surement que Gnash prenne la parole.
hum, Bonjour Maître Kazekage.
Bien que la jeune fille ne soit pas son maître par forme de politesse Gnash choisit de l'appeler comme cela.
Je suis Gnash Ka...heu Itsumi Chuunin de Kiri.
Gnahs préféra garder ses véritables origines pour lui mais il lui était difficile de mentir. Il avait beau avoir perdu en politesse depuis que ses parents l'ont abandonné mais mentir il n'y arrivait tout simplement pas que se soit devant un gamin qui gobe tout comme devant un Kage qui t'écoute avec attention pour savoir si ce que tu dis est vrai.
Donc, je suis là en ami, notre jeune Mizukage Ragnar fait une demande de pacte avec le village. Voici une lettre qu'il a fait pour vous.
Gnash posa la lettre à côtés de amin du Kazekage et attendit debout une réponse.

Hs : tu vas avoir du mal à lire la lettre^^

Yumee était debout, devant la grande fenêtre qui donnait sur le village caché de Suna. Le soleil se levait, azurant le ciel de traînées orangées magnifiques. Il n’y avait aucun nuage, seul un rideau de sable s’écoulait au dessus des maisons, s’infiltrant ça et là dans les ruelles ; et pouvant passer pour de la brume. La jeune aveugle observait ce paysage désertique d’un œil distrait, puisque de toute évidence elle ne le voyait pas. Elle en imaginait les contours, mais sans grande conviction. A vrai dire, depuis qu’elle était revenue, son imagination était au point mort, et elle avait beaucoup de mal à inventer de jolis tableaux colorés, comme avant. Cela était dû au fait que la présence de Shindô lui manquait horriblement, et que sans lui, elle avait de plus en plus l’impression que sa vie n’avait aucun sens. L’animal étant le seul vestige de sa famille, sans penser à la cicatrice qu’elle portait dans le dos, et il était devenu pour elle un ami, un frère, auquel elle tenait plus qu’à sa propre vie. C’était celui qui l’avait toujours aidée, défendue, et aimée comme elle était vraiment. Il y avait aussi Reicky, d’ailleurs son compagnon devait aujourd’hui être avec lui. Où étaient-ils ? L’avaient-ils oubliée ? C’était fort probable, et même si son espoir chutait considérablement, elle en gardait tout de même une part. On frappa à la porte, si bien que la jeune aveugle fût sortie de ses rêves. Encore très peu habituée à son statut de Kazekage, elle se retourna vers la porte, annonça que la personne pouvait entrer. Elle ne prit pas la peine de s’asseoir, laissant ses doigts courir sur le bois de son bureau. Quelqu’un entra dans la pièce. Ou plutôt, deux êtres. Elle reconnu immédiatement le pas lourd d’un loup, et imagina tout de suite que Shindô était revenu. Ce n’était pas le cas, l’animal n’avait pas la même odeur.

Maître Kazekage ? Baah…fallait-il qu’elle s’habitue à ce qu’on l’appelle comme ça ? Yumee grimaça pour elle-même, n’aimant pas se voir attribuée d’un tel nom. Kazekage suffisait, Yumee était encore mieux. Elle leva ses yeux d’un bleu océan vers lui ; tenta de l’observer. Il disait être Gnash Itsumi, mais elle sentait dans sa voix qu’il lui mentait. Il avait bafouillé sur le départ d’un ‘Ka’, mais elle ne chercha pas vraiment à comprendre. C’était probablement un acte normal de la part d’un ninja de Kiri. Le jeune homme disait être venu à la demande du Mizukage, pour un pacte entre les deux villages. Elle baissa les yeux sur la lettre que le ninja glissa sur la table, esquissa un vague sourire. Elle prit le papier, et se dirigea vers Gnash, lui tendant l’écrit avec un air pour le moins amical.

« Pourrais-tu me la lire ? Comme tu peux le voir, je n’en suis pas vraiment capable. Et je suppose que ton Mizukage n’a pas pris la peine d’écrire en brail, alors je t’en pris, lis-là. »

Elle sourit vaguement, estimant la distance qui l’éloignait du jeune homme et de son compagnon. Aux sons qu’elle percevait, elle conçu que l’animal était relativement grand, peut être un peu trop. Une caractéristique des loups blancs du désert. Perplexe, elle attendit que le jeune ninja commence sa lecture.

Gnash devint tout blanc, le pauvre tellement envahi par le stress n'avait pas une seconde pensait qu'elle était aveugle. Il avala sa salive reprit la lettre et commença à la lire à voix haute le plus clairement possible :

Citation :: ~~Voici la lettre ^^!!~~

Chére Kazekage.
C'est pour moi un honneur de vous contactait par l'intermédiaire de ce jeune ninja de mon village. Je me présente: je me nomme Ragnar, 4éme Mizukage de Kiri et réçament nommer. Je me permet de vous contactait dans un but précis. Vous n'étes pas sans savoir que pendant des année Kiri a vécue éloigner de tous! Une grave érreure a mon avis. Je pense qu'il est temps que Kiri sorte de son hibernation. Je vous propose une entrevue qui pourait aboutir a un rapprochement de nos village! Il est temps que la paix se face et Kiri qui a toujours était considérer comme un village sanglant doit sortir de son moyen age!!
Sur ce acceptait mes salutation distinguer dans l'espoir de se rencontrer: Mizukage le 4éme Ragnar!!

~~Sa en jette non?? ^^~~

Une fois la lecture fini il plia la lettre la remit dans sa poche. Il ne savait si il devait prendre la parole. D'abord pour se rassurer il posa sa main sur le dos de Koyuki et le caressa. Après une minute sans rien faire il commença à se relâcher et à reprendre des couleurs. Il ajouta d'un ton calme et bien plus décontracté qu'avant :
Qu'en dites vous Maître Kazekage ?
Toujours envahi par son deuxième but celui de retrouver son clan il ne put s'empêcher de rajouter :
Outre cela, puis je savoir si des clans vivent dans le désert, si oui lesquels ? Peut être est ce une question qui déborde trop de la première raison pour laquelle je suis là.
Gnash voulait tenté sa chance. Maho lui avait pourtant dit que leur clan était pratiquement inconnu et que seul les personnes âgées pouvaient en avoir entendu parler, pourtant il voulait essayer. Si il avait une réponse ça lui permettrait d'avancer plus vite dans ses recherches. Après tout un Kazekage est bien informé.

Yumee avait écouté le jeune homme avec attention. Elle ne perdit pas une miette de la lettre lue à voix haute par le Ninja de Kiri, étant assez surprise par cette demande peu habituelle. Elle, qui avait déjà visité ce village une fois, n’aurait jamais pensé que le Mizukage ferait cette proposition un jour, car elle avait toujours su ce village dans les profondeurs du meurtres et de la violence. Elle paru réfléchir quelques instants, se dirigea vers la fenêtre, rêveuse. Il proposait une entrevue pour discuter de tout cela, elle n’y voyait là rien de méchant. Au bout de quelques instants, la voix de Gnash la surprit, une fois de plus. Elle se retourna, esquissa un sourire et se dirigea vers lui. Elle récupéra la lettre ; appela quelqu’un. Immédiatement, un homme entra. Probablement un ninja important, qui vint face à elle et s’inclina légèrement, lui parlant avec une sorte de ton trop respectueux qu’elle n’aimait pas vraiment. Elle le fit rapidement se redresser, le situant non loin d’elle, et lui demanda de lire cette lettre avec attention. Elle lui indiqua également qu’il devait commencer à rédiger une réponse positive de sa part, et qu’elle passerait plus tard dans le but de signer. Elle lui sourit, chose inhabituelle chez les Kage. Elle regarda brièvement Gnash, espérant que cet ordre avait été pour lui une sorte de réponse. L’homme s’inclina à nouveau, s’éclipsa derrière la porte, dans l’obscurité du couloir.

La jeune fille se dirigea vers son bureau, et alors qu’elle s’apprêtait à congédier le ninja, il lui posa une question qui la fit frémir. Des clans vivant dans le désert ? Elle se retourna vivement vers lui, planta ses yeux bleus pâles dans son regard, avec une facilité étonnante. Son visage semblait avoir quelque chose de grave, comme s’il venait de prononcer des mots interdits. Elle l’observa un moment, avant de lui répondre, avec une voix à la fois amicale mais prévenante.

« En effet, il existe bien un clan vivant dans le désert. Les Karage sont des êtres malfamés, et ils se déplacent sans cesse pour ne pas qu’on puisse les trouver. En faisant moi-même partie de ce clan, je te déconseille d’aller t’y hasarder. »

Elle se tu, se demandant alors pourquoi le jeune ninja voulait savoir cela. Elle le regarda sans vraiment le voir, sembla comprendre vis-à-vis du loup qu’il possédait, et du bafouillage qu’il avait fait au niveau de son nom. ‘Ka’ pour Karage ? Ce n’était pas impossible, mais la jeune fille n’y croyait pas vraiment. Jusqu’à présent, les membres de cette famille avaient été disséminés un peu partout dans le monde, changeant d’identité et n’ayant pas connaissance des loups sauvages. Alors pourquoi arrivait-il accompagné d’un tel animal, se préoccupant des clans vivant dans le désert, et cherchant probablement à chercher quelque chose ? Yumee paru perplexe, et reprit la parole avec un air interrogateur.

« Pourquoi voulais-tu savoir ça ? »

Gnash venait de recevoir ses paroles en plein visage. Il paniqua ne comprenant pas. Il recula et trébucha sur la queue de Koyuki. Une fois par terre il prit la parole énervé.

Ce n'est pas possible j'ai rencontré deux personnes de cette famille et elles avaient l'air heureuses. La première fut Maho, elle m'a parlé du clan sans difficulté et puis le vieil homme Fubuki que j'ai rencontré lors de mon voyage.

Il se calma, baissa la tête. Un silence total régna pendant quelques secondes. D'une voix plus calme il rajouta.

Finalement il n'avait pas l'air tellement heureux que ça. Je m'en rends compte que maintenant ,mais Maho a essayé de m'empêcher de partir et je n'ai pas voulu écouter quant à Fubuki il était vieux et savait qu'il ne pourrait pas. J'ai honte...

Gnash avait toujours la tête baissait et se souvenait, des moments passés avec Maho qui lui racontait toutes les histoires du clan Karage et Fubuki qui lui faisait part des plus beaux récit de sa jeunesse. Ses deux personnes faisaient partie de sa famille et il n'a pas voulu les écouter jusqu'au bout. Gnash laissa échapper quelques larmes. Il se mit à sourire et d'une petit voix il reprit la parole :

Je tombe vraiment sur des familles pitoyables.

Il se releva péniblement.

Merci pour ses informations, j'ai accepté cette mission pour faire connaissance avec ma famille et apprendre pourquoi des techniques avec eux mais c'est raté. Encore merci.

Au fond de lui Gnash attendait une réponse du Kazekage si possible une aide ,mais il n'avait plus le courage de lui demander en face. Tout cela venait de l'écraser et plus jamais il n'essaierait de contacter d'autres membres du clan Karage.

Yumee sentit très vite l’énervement dans la voix du jeune homme. Elle qui savait détecter toute forme de sentiments dans les timbres des gens, se trouvait confrontée à un ninja de Kiri qui semblait bousculé par ce qu’elle venait de lui dire sur son clan. D’ailleurs, il semblait trébuché sur la queue de son compagnon, tant et si bien qu’il se retrouva les fesses par terre, hébété par ses affirmations. Elle, l’observait avec une facilité terrifiante, comme si toute trace de cécité s’était envolée. Ses yeux pâles, dont le voile blanchâtre cachait la beauté saphir de ses prunelles, semblaient être soudainement emprunts de sentiments, chose inhabituelle chez les aveugles en temps normal. Elle aurait aimé pouvoir détruire ce voile, le mettre en charpie, quitte à se brûler les yeux à la lumière du soleil. Mais il ne fallait pas penser à ça, car IL savait revenir quand les demandes de sa propriétaire se faisaient trop lourdes et trop alléchantes. Il voulait, tout comme elle, voir le visage de cet inconnu étrange. Elle le sentait gigoter en elle comme un monstre en cage. Et puis les paroles de Gnash la surprirent, la tirant de ses suppositions et de ses rêveries. Il disait avoir rencontré deux personnes de cette famille. Le deuxième, Fubuki, ne lui disait strictement rien. En revanche, Maho, c’était une toute autre histoire. Maho Karage, l’une des doyennes du clan. C’était elle qui avait mit naissance à Yumee, et qui avait constaté sa cécité. C’était elle qui avait eu l’idée oppressante d’essayer de l’entraîner, malgré cette tare. Lorsqu’elle avait eu deux ans, la caravane fût attaquée, et Maho profita de cette interruption pour s’enfuir. A vrai dire, ç’avait été la meilleur chose à faire pour elle, puisque les assaillants s’étaient trouvés particulièrement violents.

Yumee ne dit rien, resta plongée dans un mutisme déroutant. Elle fixait Gnash, se demandait pourquoi il mettait autant d’acharnement à chercher des informations sur son clan. D’un ton plus calme, il continua de lui parler, avouant qu’il avait fait preuve envers ces deux personnes d’une impatience mauvaise. A sa voix, elle sentit qu’il regrettait, et cela la rendit encore plus perplexe. Et puis, l’odeur des larmes. Une voix souillée par des minis sanglots, un ton beaucoup plus triste. Il lui dit finalement rechercher des informations sur sa famille, ce qui frappa la Kazekage de pleins fouets. Ce jeune homme faisait partie du clan, elle en avait désormais la certitude. Inconsciemment, un sourire se dressa sur son visage d’une pâleur étonnante, lui donnant un air amical et réconfortant. Il était à la recherche de sa famille, aussi elle comprenait ses sentiments. Elle qui avait été très tôt séparée du clan, savait ce qu’il en coûtait de faire des recherches, car cela ne servait strictement à rien. Les anciens étaient pour la plupart morts, et si l’on s’aventurait dans le désert, il était impossible de les trouver. Elle s’avança vers la porte, la ferma pour leur conférer un peu plus d’intimité.

« Une famille pitoyable ? Non en fait ils sont assez respectés et puissants, pour la plupart ils ne sont pas mauvais. Ils suivent juste une loi de nomades, et ils refusent la différence. Maho était une vieille femme attendrie par toute forme de vie, même si celle-ci était atrophiée. Je comprends maintenant pourquoi elle est partie, et pourquoi tu as croisé son chemin… Aah, mais je suis quand même heureuse de rencontrer quelqu’un qui a le même sang que moi ! »

Elle esquissa un large sourire, s’approcha du jeune homme et lui ébouriffa les cheveux, sachant porter sa main au bon endroit avec la facilité d’une personne voyante. Bon, il était un peu plus grand qu’elle, mais elle s’en fichait ! Sa voix et son allure avait un air un peu naïf, sincère et relativement réconfortant. En détournant cette conversation familiale sur quelque chose de plus agréable était de rigueur, pour faire arrêter les pleurs du jeune ninja.

« Je suis Yumee Karage, une bannie du clan. J’ai été déposée à Suna quand j’avais six ans, parce que j’étais aveugle. Ah et j’ai remarqué que tu avais aussi un loup blanc ? Comment est-ce qu’il s’appelle ? »

Cette question lui fracassa inconsciemment le cœur, car elle-même était séparée de son compagnon. Elle baissa les yeux sur l’animal que demeurait aux côtés de son maître.

Gnash avait maintenant l'esprit apaisé. Cette conversation de famille l'avait totalement bouleversé mais l'écoute attentive du Kazekage et ses gestes attendrissant l'avait totalement calmé. Le jeune Chûnin s'était relevé avait séché ses larmes puis le Kazekage alla fermer la porte du bureau en revenant elle passa sa main dans les cheveux de Gnash et les ébouriffa d'un geste amical. Gnash devint alors tout rouge ne s'attendant absolument pas à un geste comme celui de la part du Kazekage. Puis la jeune fille ou plutôt la jeune femme continua à calmer l'atmosphère en partant sur un sujet plus agréable pour Gnash. Pour commencer elle lui donna son nom pour Gnash c'était un signe de confiance, elle était Kazekage du village de Suna il était chunin du village de Kiri elle n'avait aucune raison de lui dire, mais peut-être que, faisant maintenant partit d'une même famille Yumee pouvait se permettre de dévoiler certaine chose qu'elle n'aurait surement pas dit à un simple chûnin d'un autre village. Elle continua la phrase en lui apprenant qu'elle avait été bannie du clan Karage à l'âge de six ans, car elle était aveugle et que le clan n'acceptait pas les différences. Gnash se remémora ce que lui avait dit Maho sur le sort des bannis. Il était odieux on leur imposait une marque au fer blanc sur leur dos, une marque affreuse représentant une sorte de patte griffue, ce signe est terriblement offensant pour celui qui le porte. Lorsque Gnash eut fini de se rappeler il fut pris de compassion pour la jeune femme sans trop le faire remarquer. Puis Yumee fini en posant une question que Gnash s'empressa de répondre.

-Il s'appelle Koyuki. Il est blanc bien sure, comme tous les autres loups du clan Karage. Il porte des signes rouges sur le visage que je lui ai dessiné, je ne voulais pas qu'il ressemble aux autres et il était d'accord.

Gnash caressa Koyuki, qui en guise de réponde lui lécha la main. Le loup avait ressentit tous les sentiments de son compagnon au long de la conversation, de la panique à la honte. Il était maintenant rassuré que Gnash se sente bien, qu'il soit calme.

Gnash se mit à regarder de tous les côtés du bureau. Il ne voyait pas le loup. Yumee n'en avait pas ? Où il ne se trouvait pas dans cette pièce ? Gnash se posa plusieurs questions avant d'en poser une directement à Yumee.

-Tu...enfin vous n'avez pas de loup ?

Il ne put s'empêcher de rajouter :

-Les bannis n'y ont pas le droit ?

Maho ne lui en avait pas parlé mais peut-être avait elle oublié, elle avait eu l'air si bouleversé de retrouver Gnash, qu'elle avait oublié de lui dire certaine chose pourtant le vieux Fubuki lui n'aurait pas oublié...

Yumee avait toujours le regard fixé sur le jeune loup qui accompagnait son maître. Il n’était pas bien grand, ou du moins pour l’instant n’atteignait qu’une taille normale. Enfin…taille normale ne voulait pas dire grand-chose, parce que l’animal devait bien être aussi grand que la Kazekage, ce qui, pour des loups du désert, représentait relativement ‘normal’. Elle porta ensuite son attention sur les battements de cœur de Gnash, significatifs pour elle d’une sorte de compassion. Pas de pitié, mais quelque chose qu’elle n’aimait pas vraiment. Elle détourna les yeux vers la fenêtre, chercha à observer le paysage extérieur. Un paysage encore fragile, qui s’était relevé en très peu de temps suite à l’attaque de deux hommes. Yumee s’en souvenait encore comme si cet évènement s’était passé la veille, et cela lui pinça le cœur d’avantage. Elle avait accepté de partir pour qu’arrête le massacre, elle avait laissé Shindô et Reicky derrière elle, elle s’était enfuit comme une voleuse…sans donner de raisons. Et pourtant, elle avait promit à Reicky de revenir. Elle lui avait promit. Aujourd’hui, il était introuvable, et elle savait qu’elle ne les reverrait probablement plus jamais. Lorsqu’elle avait commencé à être Kazekage, elle avait profité de ce grade pour jeter un œil dans la paperasse, et était tombée sur une autorisation de partir pour le jeune homme. Etait-il devenu déserteur ? Avait-il entraîné Shindô dans sa rébellion ? L’adolescente fronça légèrement les sourcils, baissa les yeux. La voix de Gnash la réveilla de ses rêveries.

« Koyuki ? C’est un très beau prénom, je trouve. Mais comment ça se fait que tu aies un loup, alors que tu n’as jamais vu le clan ? Je me souviens qu’en partant, Maho avait emmené avec elle un louveteau et son propre compagnon…est-ce que c’est elle qui te la confié ? »

C’était fort probable, après tout, suite au départ de Maho on avait constaté la disparition d’un bébé, dont les parents avaient été tués suite à l’attaque de la caravane. Et puis, le cœur brisé, elle leva ses yeux aveugles vers Gnash, et tenta un sourire qui se dévoila pour le moins raté…Cela ressemblait plus à une grimace qu’à autre chose, déformant la joie de vivre de son visage. Ses yeux brillèrent, comme à l’arrivée des larmes ; mais Yumee les garda en elle, profondément cachées, invisibles. Les leçons morbides de Nadiro auraient eu moins le pouvoir de lui faire cacher ses sentiments les plus inutiles. Du moins c’était ce qu’elle pensait face à la question du jeune ninja.

« Si, mon loup s’appelle Shindô. Mais tu vois, il s’est passé des choses qui ont fait que j’ai été séparé de lui et que je ne le retrouverais sûrement jamais. Il était plus grand que Koyuki, d’ailleurs je n’ai jamais pensé à le maquiller puisque j’étais la seule à être accompagnée d’une telle bête à Suna. Et puis pour moi c’était différent, parce que Shindô ne m’a été confié qu’une fois bannie, par ma mère qui l’a caché sous mes vêtements… Et puis si tu veux, les bannis ont le droit de garder leurs loups, puisque sinon personne n’en veut, et le duo se brise. C’est très mauvais pour un loup comme ça d’être séparé de son maître.»

Elle baissa les yeux, et finit par esquisser un large sourire. Elle voulait parler d’autre chose, pour ne pas se faire souffrir.

« Et dis-moi, quelle est ton affinité ? Et est-ce que tu as déjà essayé d’utiliser les ronces ? Puisque c’est notre capacité héréditaire, il faudra que tu t’y intéresses ! »

Elle lui sourit d’avantage, ébouriffa ses cheveux une secondes fois et se dirigea cette fois vers le loup. Elle déposa sa main sous son museau, pour lui faire sentir son odeur et ne pas le brusquer. Car Shindô, lui, avait toujours détesté qu’on l’approche, ou qu’on s’approche d’elle. C’était son caractère de jaloux et de têtu. Gnash, face à ses gestes et ses paroles, devait probablement la prendre pour une enfant. Une enfant probablement trop bavarde, élevée au grade de Kazekage parce qu’il n’y avait plus qu’elle. Mais ce n’était pas le cas. Yumee n’était bavarde qu’avec ceux à qui elle faisait confiance. Et puis, si le jeune ninja s’avisait de répéter tout ça à des gens de mauvaise confiance, elle savait comment se défendre.

Oui, c'est Maho. Elle s'en ait occupé jusqu'à ce qu'elle me retrouve. Elle n'avait pas perdu espoir et savait que malgré la guerre qui avait frappé Kiri je serais toujours vivant. Elle m'avait laissé dans une grande famille de Kiri qui était censé aider le village à se défendre des attaques ennemies, la famille Itsumi. Cette famille est complètement morte ils m'ont abandonné et ont par la même occasion abandonnée le village. On ne les a jamais retrouvés. De toute façon je n'ai aucune envie de les revoir.

Gnash venait de parler de sa famille adoptive avec colère. Il ne voulait plus en entendre parler. Il n'aurait de toute façon jamais put rester dans cette famille tôt ou tard il serait parti. Déjà petit il y songeait. Les Itsumi ne pensaient qu'à faire la guerre et d'après Gnash ils auraient quitté Kiri pour aider l'ennemi et pour être reconnu dans un autre village avec une meilleure puissance militaire. A cause d'eux Kiri les villageois de Kiri durent reconstruire leur village et Gnash avait subi plusieurs remarques déplacés de la part de villageois en colère, ils disaient tous que c'était de sa faute, la sienne si ils étaient partis et que tous ses vaillant ninjas de Kiri était mort. Mais Gnash avait su résister grâce à ses deux amis.

Yumee lui expliqua ensuite qu'elle avait été séparée de son loup. Gnash ne put même pas s'imaginer être séparé de Koyuki. Ca devrait être vraiment horrible pour elle. Et ça se sentait, elle évita vite le sujet, en parler devait vraiment lui faire du mal. Gnash n'insista pas plus que ça il avait eu une réponse claire de la jeune fille.

Elle demanda ensuite à Gnash quel était son affinité et si il avait déjà essayé d'utiliser les ronces. Gnash s'y était évidemment intéressé ,mais avait refusé d'apprendre la maîtrise des ronces avec Maho, lui même ne savait pas pourquoi il avait refusé. Maintenant il regrettait, peut être n'était il pas prêt. Et pour son affinité il savait que c'était fuuton, lorsqu'il était petit des ninjas du tourbillon lui avait apprit quelques techniques ,mais Gnash utilise le moins possible les techniques apprises parce qu'il ne sait pas bien s'en servir et à peur de blesser quelqu'un. Jeune il avait blessé Kumi et Jio.. Mais aujourd'hui il était prêt à réapprendre cette affinité, il n'aurait plus peur de blesser quelqu'un et serait plus confiant. Oui c'était bien la confiance qui lui manquait. Il répondit donc à Yumee :

Eh...bien mon affinité est Fuuton ,mais je ne m'en sers pas souvent. Quand j'étais plus jeune j'ai blessé mes deux amis depuis j'évite de m'en servir. Et pour les ronces, Maho m'a proposé de me l'apprendre ,mais sans savoir vraiment pourquoi j'ai refusé, je pense que je n'étais pas pret.

HS : j'ai plus beaucoup d'imagination Razz

Yumee écoutait l’histoire du jeune Gnash. Il disait avoir été déposé dans une famille, à Kiri, un village qui s’avérait relativement loin du désert. Et s’il avait été déposé là-bas, c’était probablement parce que Maho avait voulu écarter l’enfant des guerres meurtrières qui unissait le clan. Il disait avoir été abandonné par sa famille adoptive, ce qui énerva l’adolescente. A vrai dire, elle ne savait pas comment on pouvait laisser un enfant derrière soit, d’autant plus si celui-ci était censé compter comme un membre à part entière de la famille. C’était horrible. Elle-même avait été laissée assommée aux portes de Suna, vers l’âge de six ans, tout simplement parce qu’elle était aveugle, et donc, par conséquent, ne pouvait pas prendre la place de chef que son père occupait à l’époque. D’ailleurs, l’était-il encore aujourd’hui ? Etait-il vivant ? Et Shizuna, sa mère ? Yumee baissa les yeux, hasardant ses doigts dans le long pelage maquillé de Koyuki. Une douleur désagréable l’assaillit dans le dos, et elle su immédiatement qu’il s’agissait de la cicatrice. Il ne fallait pas penser à ça, c’était interdit. Elle leva les yeux vers le jeune homme ; la colère pouvait aisément se lire dans sa voix, et Yumee semblait même l’interpréter mieux que les autres étant donné que les sentiments n’avaient presque plus aucun secret pour elle. Basée sur le timbre de voix qu’elle avait perçu lorsqu’il lui avait adressé la parole pour la première fois, elle se dressait un tableau imaginaire, avec les résonances différentes qui suivaient ce qu’il ressentait. Aussi, elle savait désormais différencier la vérité du faux, la colère de la tristesse. D’infimes détails comme l’écoulement du sang, les battements du cœur, pouvaient également l’aider. Elle lisait en eux comme dans un livre ouvert, sans pour autant savoir si elle débutait sur de bonnes bases. Gnash finit par lui dire utiliser le Fuuton, et n’avoir prit aucune connaissance des ronces.

« Et aujourd’hui, tu te sentirais prêt pour un entraînement ? Je peux t’apprendre quelques techniques, et essayer de lier ton affinité avec l’une d’elle. Comme je n’utilise pas le Fuuton pour l’instant, j'en connaîs quelques techniques mais je pense qu'il serait mieux de faire une sorte d’apprentissage solitaire, pour te permettre aussi d’être plus à l’aise avec le vent, et les ronces. Qu’est ce que tu en dis ? »

Yumee esquissa un large sourire. Cela faisait un petit moment qu’elle ne s’était pas entraînée, et qu’elle n’avait pas entraîné quelqu’un non plus. A vrai dire, cela était une première. De plus, Gnash était de Kiri, alors cela pouvait passer pour quelque chose d’assez irréel, insensé. Mais elle ne voyait pas cet entraînement comme quelque chose d’étrange, car elle faisait plutôt la liaison filiale. Il ne savait pas utiliser les ronces, elle si ; alors elle lui apprendrait les rudiments essentiels que le clan gardait au chaud. L’adolescente continuait de caresser l’animal de ses doigts, restant toutefois sur ses gardes, au cas où l’animal tenterait de la mordre. Mais elle était confiante, généralement les animaux sentaient quand on ne les aimait pas.

[HRPG > Rp' relativement nul, désolée xD]

Gnash respira un bon coup pour se rassurer et surtout pour ce certifier à lui même qu'il était prêt pour à rapprendre le Fuuton. Gnash rêvais depuis déjà longtemps d'un sensei pouvant lui redonner gout au ninjutsu impliquant les affiités et c'est ce que Yumee lui proposait, les ninjas du tourbillant qui pourtant ne fussent pas de mauvais ninja n'arrivèrent pas vraiment à apprendre l'art du ninjutsu à Gnash tandis que ces deux amis y arrivent très bien. Le jeune chunin avait donc du jusqu'alors fair appelle à son taijutsu assez satsifaisant dans l'ensemble, mais aujourd'hui il pourrait se lancer vers quelque chose de nouveau.

Je me sens maintenant prêt pour un entraînement et je rêve de reprendre depuis déjà assez longtemps mais au fond de moi j'avais peur...Aujourd'hui cette peur à disparu, et puis t..tu
Il hésitait encore à la tutoyer.
Tu es Kazekage je pense donc que même si je ferais une faute de manipulation je ne devrais pas te blesser.
C'est vrai que s'entraîner avec un Kage change tout, ça redonne une certaine confiance en soit.

Puis soudain il repensa à l'épée que lui avait donné le vieux Fubuki. Cette magnifique épée grise aet bleu au centre. L'arme était alors toujours accroché dans le dos de Gnash et attendait patiement qu'on l'utilise, elle dormait depuis déjà trop longtemps et puis Gnash avait promi à son ami de savoir la manier lorsqu'il rentrerait à Kiri, pour le jeune homme c'est une question d'honneur plus qu'autre chose, à tout hasard il demanda à Yumee si elle connaissait cette arme et savait comment s'en servir.

Fubuki m'a donné cette arme.
Il l'a sorti de son fourreau et l'approcha de Yumee pour qu'elle puisse la toucher.
J'aimerais aussi apprendre à m'en servir. La connais tu ?

Gnash n'attendait pas forcement de réponses positive à cette question. Si il ne la connaissait pas il apprendrais tout seul à s'en servir.
Encore une question lui vint à l'esprit, les loups savaient ils utiliser les ronces que les membres du clan ou peut être savaient utiliser une autre affinité si c'était le cas ça pouvait être interéssant en combat.

Yumee les loups savent maîtriser les ronces ou autres choses, enfin savent-ils se défendre lors d'un combat, il faut dire que je n'ai pas eu envie de tester l'expérience de peur de blesser Koyuki...ça serait bête de ma part et je pense qu'il m'en voudrait plus que ce que je veux bien le croire.

En effet le jeune loup avait une totale confiance en son maître et si celui venait à trahir le lien qui unissait les deux compagnons alors il serait romptue à jamais et Gnash ne supporterait pas de vivre sans Koyuki. La relation homme loup devait être sereine pour le bien des deux êtres, Maho lui avait expliqué que les loups du désert avait une capacité à comprendre leur maître bien plus supèrieur à celle d'un chien ou autre animal domestique, ils pouvaient comprendre le bien "les compliments, la demande d'aide" en gros tous ce qui unissait les deux compagnons mais aussi le mal "rejet, rage" que pouvait avoir l'homme envers l'animal, dans ce cas la le loup n'hésiterais pas à quitter son maître. Elle lui avait aussi dit que on dit "le maître et la bête" mais lorsqu'un enfant reçoit son loup il s'apperçoit bien vite que la relation entre l'animal et lui n'est pas celui d'un maître et d'une bête mais plutôt de deux frère, et c'est pour cette raison que Gnash n'avait pas osé mettre Koyuki pour simplement savoir si celui ci pouvait ce défendre avec des techniques.

Ps : déso j'ai du faire le post vite fait (y doit être bourré d'ortho)

Yumee acquiesça d’un léger signe de tête. En effet, comme il venait de le dire, il ne pouvait pas risquer de la blesser puisqu’elle saurait contrer une tentative ratée. Mais elle ne fit pas tellement attention à ça, car il venait de la tutoyer ; ce geste la faisant sourire comme une gamine surprise. Déjà, elle avait son regard planté dans le sien, avec une banalité telle qu’on aurait pu la prendre aisément pour une personne voyante. Seule la couleur blanchâtre de ses yeux trahissaient sa cécité, ne laissant transparaître qu’une faible luminosité bleuâtre, vestige d’une couleur saphir qui avait dû probablement être magnifique. Il lui dit ensuite que Fubuki lui avait donné une arme. Certes, elle ne connaissait pas l’homme en question, mais le fait de toucher la lame froide de l’objet la fit frissonner. Elle laissa courir ses doigts sur l’étendue métallique, caressant les côtés tranchants avec souplesse et fluidité, pour ne pas se couper. Par moment, elle sentait une différence de chaleur entre le centre et le reste de l’étendue. Les pigments étaient différents, et une personne normale n’aurait pu, les yeux fermés, savoir que la partie centrale était d’une couleur différente. Quelle couleur, par contre, elle ne pouvait que l’inventer. Du rouge, du noir ? Elle n’en avait aucune idée. Mais comme l’affinité de Gnash était Fuuton, elle songea qu’il s’agissait peut être de bleu.

« Non je ne la connais pas. Je sais juste que certains membres du clan sont arrivés avec des armes plus ou moins diverses. Peut être que cette épée en faisait partie ? Ils sont rares, dans le désert, à utiliser ce genre d’arme pour se battre, mais je pense que c’est une solution pour ceux qui ne savent pas utiliser le taijutsu… Il faudra que tu essayes de combiner ton affinité avec elle, peut être que ce sera très utile par la suite. »

Le jeune homme lui demanda ensuite si les loups savaient utiliser les ronces, tout comme les membres du clan. A vrai dire, elle ne pouvait déterminer si le jeune Koyuki était lui-même capable de générer ces plantes, et elle ne saurait sûrement pas tout de suite.

« Certains loups le peuvent, mais ils sont très rares. Tu découvriras si Koyuki en est capable quand le moment sera venu pour toi de t’entraîner concrètement avec lui. C'est-à-dire quand tu auras toi-même acquis des techniques de base. Mais ne t’inquiète pas, Koyuki est ‘prévu’ pour te défendre. Les Karage les ont tellement programmés autrefois que désormais les mères apprennent même à leur portée à se comporter comme ça. Ils sont considérés comme des armes à part entière, là bas. Toi, tu as la chance de pouvoir être avec lui et l’aimer comme un frère, il te le rendra très bien. Ils savent très bien se défendre pendant un combat. Et puis même si Koyuki n’est pas encore très grand, ne sous-estime pas sa force musculaire, qui est à peu près la même qu’un ours adulte… »

La jeune Kazekage esquissa un sourire face aux explications qu’elle venait de lui fournir. Elle espérait avoir été assez clair, et lorsqu’elle se rendit compte qu’elle avait oublié quelque chose d’important, elle reprit la parole avec une gravité assez surprenante.

« J’allais oublier, si Koyuki ne veux pas utiliser ses ronces comme ça, alors il ne faut pas l’y obliger. Car généralement, les loups font ça quand ils doivent défendre leurs maîtres avec les moyens du bords, donc en tout dernier recours. Et bien entendu, sous l’effet d’une intense colère. Entraîne le à l’endurance et à la force, pas à cette capacité héréditaire. »

Elle fit un léger clin d’œil, car elle était presque sûre qu’il l’écouterait. Plongeant de nouveau ses doigts dans le long pelage du jeune loup ; qui avait bien entendu qu’on parlait de lui, elle détourna son regard vers l’immense fenêtre qui dominait son bureau, donnant une somptueuse vue sur le village. Le ciel était dominé de traînées orangées, qui appelaient à une fin de journée. Cela faisait presque une heure qu’ils étaient tout les deux dans son bureau, pour une découverte de son clan. Dans son dos, Yumee ressentait une désagréable douleur, sûrement due à la cicatrice de bannissement auquel elle avait eu droit avant d’atterrir à Suna. Repenser et parler du clan lui était interdit, d’où ce mauvais châtiment. Les Karage avaient pensé à tout. Un marquage au fer blanc suivit d’un sceau à l’arrière de la nuque. Un tout petit sceau qui ne se voyait plus le moins du monde aujourd’hui ; mais qui interceptait avec zèle les souvenirs liés à son enfance. C’était vraiment méchant, et plus les jours passaient, plus l’adolescente se disait être née d’une famille horrible, poussée par des pulsions meurtrières. Elle regarda de nouveau Gnash, lui sourit avec enthousiasme.

« Et si nous commencions ton entraînement maintenant ? J’ai la chance d’avoir un terrain d’entraînement pour moi seule, suffisamment grand pour pouvoir entraîner aussi Koyuki. Qu’est ce que tu en dis ? »

Yumee ne connaissait apparemment pas cette arme, après tout il pouvait très bien apprendre à s'en servir tout seul. Fubuki lui avait bien trouvé seul les particularité de cette arme et l'avait maîtrisé, de plus Gnash partait avec un pied d'avance car son affinité étant Fuuton il n'aurait pas de mal à s'en servir contrairement à Fubuki qui lui maîtrisait Katon. Yumee lui parla d'armes fabriquaient par le clan Karage pour les non utilisateur de taijutsu, Gnash qui pendant quelque année n'utilisa que cette manière de combattre était devenu particulièrement doué par rapport au autre chuunin de son village sans pour autant être le meilleur il aurait aimé continuer le taijutsu mais au fond de lui l'apprentissage des ronces et le maniement de cette épée lui faisait plus envie, il décida donc de laisser pour le moment le taijutsu de côtés et ce concentrer sur ce qu'allait lui apprendre Yumee, il laissa aussi l'idée de faire combattre Koyuki. Il laisserait le loup se défendre quand il le devra et ne voulait surtout pas bousculé son ami pour lui faire plaisir. Pour que les deux êtres soient heureux il fallait qu'il soit en accord et c'est ce que Gnash faisait. Il entraînera donc son loup à l'endurance et la force comme venait de lui conseiller la Kazekage.
La force et l'endurance? D'accord j'y penserais!
Gnash regardait la main de Yumee caressant son loup, ses caresses étaient douce et sembler parler à l'animal au poil blanc, Koyuki lui répondait en bougeant légèrement la tête de droite à gauche heureux de toute cette attention de la part d'un étranger. Il fallut à Yumee moins d'une heure pour que le jeune loup se sente bien à ses côtés pour qu'il la considère comme ami, Gnash en était surprit mais pas mécontent que Koyuki soit entouré de personne qui le comprend car étant resté seul dans la forêt pendant très longtemps un peu de compagnie ne lui faisait que de bien. Un silence régna pendant quelque seconde, Gnash le regard rivé sur la main de Yumee dans le pelage du loup et la jeune Kazekage le regard vers l'immense fenêtre qui dominait le bureau donnant une vue imprenable sur le village du sable. Puis Yumee lui proposa un entraînement, tout de suite. Gnash ne pouvait qu'accepter l'offre. Il laissa échapper un petit sourire, pressé de commencer.
J'en dis que je suis très content, j'accepte!
Gnash avait parlé avec tant d'enthousiasme qu'il se surprit lui même. Il attendit que Yumee prenne les devant et l'emmène sur le terrain.

[HRPG > Le prochain post se déroulera dans les terrains d'entraînements, mais je ne sais pas quand je posterais n__n]

» pacte des singes
» x Clan Karage x
» Yumee Karage
» Technique de Kazuya Karage