Itosugi Akira| Fiche Terminée

Nom : Itosugi (Famille de marchande de Yuki)
Prénom : Akira
Âge : 17 ans
Village : Qu'importe, j'irais ou on voudra de moi.(préference pour Suna)
Affinité : Futon
Spécialisation : Taïjutsu

Nindô : Mon village est ma vie, l'art ninja, mon âme, je ferais tout pour ne pas les perdre

Physique :

Il est temps de décrire le jeune homme. Parlons ainsi de ce qu’il dégage, sa façon de marcher, ses mimiques qui forgent l’opinion des gens lorsqu’ils le voient. Ses tics, son aura…
Discrète, sa démarche n’attire pas l’attention. Il ne boite pas, ne rejette pas ses épaules en arrière, n’a pas un style de marche particulière qui pourrait le définir. Ainsi, il passe inaperçu la plupart du temps, art qui lui à servi à de nombreuse occasion. Mai si on fait attention à lui, on peut voir un garçon fier. Son nez se retrousse régulièrement lorsqu’il parle ou regarde quelqu’un, dans une moue légèrement hautaine, méprisante et boudeuse parfois. Ses sourcils se froncent souvent, signe d’une colère refoulé.

Il y aussi ses gestes toujours contrôlés, mesurés en publique. Car chacun sait que les gens perçoivent les autres autant par le langage du corps que celui des mots. Il fait donc bien attention à ne pas attirer l’attention sur lui et ses gestes sont simples, basique si j’ose dire.
Mais en privé, c’est une autre histoire… Il parle souvent avec les mains, les bougeant dans tous les sens, incompréhensible s’il est énervé mais lorsque qu’il est calme, on peut remarquer que ses gestes appuient ses paroles. Il possède aussi un « tic » que je qualifierais d’énervant car il fait craquer ses doigts et sa nuque toutes les cinq minutes.

Ses yeux, emblèmes des Itosugi, sont d'un bleu d'opale, en amande, parcourent souvent la foule à la recherche d’indice sur la nature des gens et s’ils sont un danger pour lui, on à l'impression qu'il ne regarde jamais en face, qu'il est dans la lune. Son nez, retroussé, et la seule partie de son visage à trahir ses pensées tandis que sa bouche fine, vermeil, bien dessiné, reste toujours neutre et ne s’ouvre que pour lâcher quelques mots. Ses sourcils sont si fins que l’on pourrait croire qu’il se les épile. Ce qui n’est pas vrais d’ailleurs.

Des cheveux mi-longs, brun, encadrent ce visage ovale et doux. Il n’est pas très grand, environ un mètre soixtante-quinze. Sa carrure est de taille moyenne, je dirais qu’elle n’est pas impressionnante mais suffisante. D’ailleurs, il préfère celle-ci à celle d’un body-builder, il ne serait pas aussi discret.

Entraîné dès son plus jeune age, ses muscles sont taillés pour l’endurance et pour la mesure. Je m’explique, il sait doser sa force, à la perfection. Il ne tuera donc jamais par hasard ou maladresse -encore faut-il qu'il tue >.<- et se fatiguera moins vite en utilisant le minimum d’énergie nécessaire à l’accomplissement de sa tâche.

Sa manière de s’habillé et sobre, faite pour ne pas attiré l’attention. Aucune frivolité, pas de couleur donc pour lui, il fait dans le fonctionnel. Son pantalon est légèrement large mais ne le gêne pas dans ses mouvements. Terminé par des chaussures coqués, sa tenue est celle d’un professionnel. Ah, à ajouter, les mitaines qu'il porte en toutes occasions.

Mental :

Malgré ce que laisse transparaître son apparence, Akira est quelqu'un de très sympathique et jovial.

Fêtards, il aime les grands banquets ou il y a de la musique, de la nourriture, des rires.
il va toujours vers les autres. Même si les discussions que vous allez avoir avec lui pourront facilement vous énerver car il reste toujours calme et que certains choses qu’il dira pourrons vous paraître totalement hors contexte, je m’explique. Vous lui parler d’entraînement, il vous répond qu’il à faim… N’est-ce pas énervant ? Pourtant, il ne fait pas –tout le temps- exprès, il est rêveur, tout le temps dans la lune. il est néanmoins de bonne compagnie.
Aimant les belles femmes, il est toujours à la recherche de nouvelle conquête. Il faut dire que ce n’est pas un bonhomme compliqué notre petit Akira.

Par contre, flemmard comme pas deux, vous verrez les civil être plus courageux que lui ! Non pas qu’il soit peureux, non, il rechigne à la tâche, traîne des pieds, il préfère rester là où il est fumer sa cigarette en contemplant les nuages… Ou l’arrière trains des femmes. Bien sûr, il sait quand être sérieux tout de même.

« Moi, pervers ? Noooon, j’aime juste les belles choses… ! »

Fumeur invétéré, vous le verrez toujours avec une clope à la bouche.
Malgré les blessures de son passé, il sait être optimiste et faire confiance aux autres. ce traits que caractère est sans doute ce qu'il l'a empêché d'être asocial.

Autres: Les yeux couleur opale sont une caractèristique physique du clan.

Histoire :


Bonjours messieurs, dames, je suis le narrateur. Vais-je vous embêter avec le topo habituel d’une biographie classique ? Non, je vous passerais donc les détailles de sa naissance. Oui, il avait une mère et un père. Kitaï Itosugi et Akira Itosugi. Oui, Akira était un prénom masculin et féminin. Kitaï, son père, n’était pas de la famille, il s’était marié avec la mère de notre jeune homme pour l’être. Un moyen de pression sur ses adversaires. Oui car Kitaï faisait dans les meubles de luxes. L’appuis des Itosugi lui étai donc bien pratique.

Toujours est-il que tout ne se passa pas comme prévu.

Sa mère, ressortit de la salle d’opération les yeux vide de toute expression, mais vivante tout de même. Enfaîte, de suite du traumatisme, elle était tombée dans un coma plutôt spécial. En effet, alors qu’elle pouvait toujours marcher, elle n’était plus là, son esprit absent et ne pouvant plu revenir apparemment. Il fallait la nourrire, l’habillé, la couché mais une fois assise ou debout, elle le restait, puis, lorsqu’on la poussait un peu, elle avançait en ligne droite, sans faire attention aux obstacles. Il fallait donc la surveiller. Les membres de la famille étaient déjà sur place, et regardèrent le bébé étrangement, avec tendresse et tristesse en même temps. Ils virent tous aussi l’étrange marque de naissance sur son visage… une cicatrice près de l’œil. Kitaï grimaça lorsqu’il fit cette découverte… Son appui allait perdre de sa puissance. Il allait être responsable pour les fautes de son fils… Son fils, son fardeau, ce poids qu’il n’aurait jamais du faire. Tout cela pour satisfaire cette femme idiote et pour asseoir sa position en tant que membre de la famille… Il avait été idiot lui aussi, il allait perdre en autorité à cause de cette femme ne pouvant plus l’appuyer auprès de ses pairs et de ce fils miraculé qui allait le remplacer ! Il ne voulait pas ! Cet enfant était celui qui allait causer sa perte de pouvoir, il allait payer ! Car Kitaï était un homme rancunier, sadique et avide d’argent. Comment avait-il conquit le cœur de sa mère ? Je ne le sais pas, vous non plus et personne ne le saura jamais. Il devait à présent reconstruire autre pars, pourquoi pas à Iwa ou à Suna ? N’importe ou car de toute façon, il était un pro de la parlotte et de la mesquinerie. Il quitta donc Yuki dans la semaine. Son fils avec lui, il demanda à certains de ses contacts de brouiller les pistes pour que le clan ne le retrouve jamais.

Sautons donc tout cela et intéressons-nous à une autre partie de la vie d’Akira.

Il a trois ans et son père l’envoya dans un pensionnat. Mais ce pensionnat était particulier puisque ceux-ci fournissaient des travailleurs en toute sorte pour tout le monde. En effet les enfants effectuaient des travaux trop difficiles ou fatigants pour les adultes qui faisait appel à l’organisation.

Ont lui appris très tôt à se battre pour survivre et ont lui enseigna quelques petites choses pour qu’il effectue bien ses jobs. Bien entendu, la discipline était de fer. Et comme marque de fabrique, des initiales, S.N Suivit d’un numéro en chiffre romain, pour Akira se fut XI. St Namakura

Est-ce que le père d’Akira connaissait la vocation de l’école ou non ? Encore un mystère.

End of

Il se réveilla dans une cabane, ne se souvenant plus de rien… Qui il était, que faisait-il-la ? Pourquoi cette étrange cicatrice ? Enfaîte, c’était un vieil ermite qui l’avait vu marcher seule puis s’écrouler qui l’avait recueillit. L’enfant avait eut de la chance, le vieux papi avait faillit ne pas le voir, mais heureusement pour lui, curieux de nature, le vieil homme c’était approché de cette silhouette qu’il n’avait pas été sur de voir d’ailleurs.

En tout cas, il n’allait pas laisser un jeune garçon dans la nature comme cela ! Cela allait à l’encontre de ses principes… Il voulait aider le petit homme qu’il avait découvert. Il était outré qu’un si jeune bonhomme puisse se retrouver tout seul, sans rien, seulement des blessures et des haillons ainsi que cette marque sur l’omoplate. Ou, comment, pourquoi ? Toutes ses questions qui trottaient dans la tête du vieil homme ne comptaient pas, il les rejeta en masse, se concentrant seulement sur l’important, que le jeune homme se rétablisse.

Chose qui allait être difficile puisque Akira ne se souvenait plus de qui il était, de ce qu’il avait fait avant et surtout, il ne voyait plus rien. Oui, ses yeux bleus ne percevaient plus rien, il était plongé dans une obscurité totale. Un choc, une blessure ? Personne ne le savait mais il fallait bien qu’il vive avec, non ?

Le vieux monsieur se mit donc en passe de le rééduquer. Tout d’abords, il fallait lui expliquer qui il était, qu’il pouvait avoir confiance et ensuite, l’aider. Lorsqu’il eut cette pensée, il vit Akira s’agiter puis se relever brusquement, ouvrant les yeux tout aussi rapidement.

« Ou suis-je ? ! Mais…Mais… qu’est-ce qui m’arrive, je ne vois plus rien ! »

Il semblait très apeuré (logique n’est-ce pas ?), Affolé, il se souvenait avoir marcher sur une route, le soleil tapant très haut dans le ciel et maintenant, il ne voyait plus rien, était sur un sol aménagé par l’homme et sentait une présence ! Avait-il réussit à s’échapper ou l’école l’avait-elle rattrapé ? Il voulut se lever, même s’il ne voyait rien, il voulait sortir d’ici, aller au village de Suna. C’était le seul nom qui lui évoquait quelque chose, un nom qui était revenue à la surface de son esprit, comme une bulle.. Imaginez-vous un homme envoyé un petit garçon de huit ans dans un pensionnat, sans scrupule ? N’’est-ce pas détestable ? Maintenant, il en avait douze et ne se souvenait plus de rien à part que ce nom, cette certitude, il devait aller à Suna! Pour faire quoi ? C’était une bonne question cela, il ne pouvait pas y répondre.
EN tout cas, lorsqu’il essaya de se lever, une main douce et apaisante se posa sur son épaule.

« Calme-toi bonhomme… Tu n’es pas très loin du village caché de Yuki. Ce qui t’arrive, je ne sais pas mais ne t’inquiète pas, je vais t’aider à surmonter tout cela. Est-ce que cela te convient ? Tu as le choix, partir ou rester avec moi un petit moment, le temps de te remettre… »

Akira ouvrit la bouche mais le vieil homme le coupa :

« Non, ne me donne pas ta réponse tout de suite, repose-toi tout d’abords, réfléchit ensuite, et seulement après j’écouterais ce que tu à dire »

Il écouta, seulement. Il réfléchit donc et trouva logique de rester. Il ne voyait rien, à quoi bon s’entêter à vouloir se risquer sur les routes et finir par périr sans savoir, sans découvrir pourquoi il avait finit là ? Non. Après une heure ou deux à réfléchir à tous les possibles, toutes les éventualités, à peser le pour, le contre, il accepta.

« D’accord papi, merci de votre aide… »

Et une amitié, un lien intense se créa entre l’homme et l’adolescent. Tout d’abords, il donna un nom au jeune garçon. Il l’appela Gogyo, comme son fils qui était adulte depuis longtemps. Akira –ou plutôt Gogyo- accepta tout de suite, ce nom sonnait bien et il n’avait pas mieux pour le moment ! Il s’appellerait donc comme cela. Ensuite, il devait s’habituer à ne plus voir et à ressentir. Mais tout d’abord, de nouveaux habits! Un pantalon en laine et un tee-shirt noir suffit à notre héros, de toute façon, il ne voyait rien !

Peu à peu, il appris à écouter, à sentir, ressentir et a touché à la place de voir.

Il était à peu près rétablit physiquement mais son mentale souffrait encore ! Le caractère enjoué de l’homme avait déteint sur lui et c’est grâce à l’ermite qu’il appris à être optimiste et à toujours avancer, toujours. ET aussi son sens de l’humour et des femmes. Oui car le vieil homme se rendait parfois en ville et le jeune homme avait appris à reconnaître les belles des laides. En sentant le parfum et en retentissant leurs mouvements dans l’espace.

Au bout de trois années, il se sentit fin prêt à quitter le vieil homme. Surtout qu'au fur et à mesure, sa vue revenait.

Découverte et Apprentissage.

L’homme insista pour lui donner quelques affaires avant de partir. C’est de lui qu’il hérita de son manteau et de ses mitaines ainsi que cette vieille habitude de fumer. Fumer à son age, inadmissible >.< ?! Heu…non. Bref, il fût accompagné par son « mentor » jusqu'à la fin de la clairière puis le laissa volé de ses propres ailes. Le reverrait-il ? Il ne savait pas, mais était heureux d’avoir participé à sa guérison. Il allait maintenant retrouver sa vieille amie, dame solitude.

Gogyo –ou Akira, peu importe- s’engagea sur le chemin qu’il connaissait maintenant par cœur. Mais avant d’atteindre la ville, il percuta un jeune homme, un peu plus âgé que lui, arrogant, bête, méchant. Mais pas tout seul, accompagné de trois autres jeunes.
Notre personnage principal recula de trois pas et s’inclina légèrement, disant d’une voie un peu timide :

« Excusez-moi… je ne vous ai pas " vu ".. »

Il avait prononcé le vu d’une façon étrange. Enfin, logique vu qu’il était aveugle-ou presque. Enfin bref, les quatre garçons se retournèrent et commencèrent à chercher Akira, le poussant. Il tomba sur les fesses et se releva, regardant à côté du chef il dit :

« S’il vous plait, laissez-moi tranquille… »

Mais le troupeau crut qu’il manquait de respect vu qu’il regardait à côté de leur pseudo chef.
C’est alors qu’un vieux monsieur mais pourtant semblant athlétique passa à côté des personnes et d’Akira. Lorsqu’il vit son visage, il s’arrêta, la mine bouleversée. Cet homme était un membre de la famille Itosugi qui l’avait vu naître ! Et il n’avait pas oublié l’étrange marque de naissance du bébé. Il s’interposa et d’une voix puissante dit aux « cailles » de Konoha :

« Laissez cet enfant tranquille, ou je vous promets que vous allez passer un sale quart d'heure."

Le groupe parut gêné et s’excusant, s’en alla. Regardant vers le bas et à droite –en direction de l’homme- il dit :

« Merci, mais qui êtes vous ? »

Un instant d'hésitation de la par du vieil homme. Il pouvait se trompé, ses yeux rouges par contre, ne trompaient personnes, surtout qu'associé à ceux-ci, une cicatrice courait près de son oeil, d'une longeur aproximative de cinq centimètres. L'homme le prit par l'épaule et lui dit d'une voix douce:

« Je suis une personne qui te connaît, mais à l'époque tu étais un têtard »

C’est ainsi qu’il découvrit que son nom était Akira Itosugi et qu’il était un membre du clan de Yuki. Son avenir s’éclaira devant lui et il savait maintenant ce qu’il avait à faire dans ce village, devenir ninja !

Il rencontra tout d’abords sa nouvelle famille, son clan. Son oncle accepta de s’occuper de lui. Matsumoto aimait le jeune homme, plein d’enthousiasme, sympathique, toujours plein d’humour malgré ce qu’il semblait avoir vécut, il lui insufflait une énergie nouvelle.

Il le prit sous son aile comme le fit l’ermite avant lui.
Pourtant peu de jour après, il recouvrit la vue, comme si la rencontre de son oncle l’avait soigné …

"Akira, je voudrais te parler de quelque chose d’important. Non, ne m’interrompe pas je t’en prie, il faut vraiment que je t’en parle. Voilà, ta mère est encore en vie mais dans un état peu favorable, voudrais-tu la voir ou bien non ? Sache que je ne tiendrais rigueur de ta réponse, fait comme bon te semble. "

L’intéressé fut d’abords surpris, il ne savait pas qui étaient ses parents et n’avait jamais envisagé la possibilité qu’ils soient toujours en vie. C’est comme si un souffle de vie lui avait insufflé une allégresse comme il n’avait jamais connu Retrouvé sa mère, il n’en avait jamais rêvé, il ne savait même pas qu’il en avait une, comme un père. Mais en connaissant l’histoire, il se mit à le haïr. Quoi de plus normal ?Enfin il avait peur aussi… Et s’il ne lui plaisait pas ? Si elle lui en voulait pour les actes de son père ? Et si elle ne le reconnaissait pas ? Toutes ses questions sans réponses…Pourquoi ce prendre la tête comme ça, il devait y aller, il était obligé, sa curiosité était trop grande ! Raaaah mais en même temps, il ne savait pas vraiment… Il se prit la tête et s’assis sur un pouf.

Cet acte tira un air surpris à son oncle…Son neveu avait toujours agit sur impulsion, pourquoi réfléchir maintenant ? Décidément, il était très surprenant ce petit. Il fut tiré de ses réflexions par le ptiot :

« Oui, je le souhaite. »

L’homme hocha la tête, ce petit avait un caractère trempé, il ferait fasse à ses ennuies. Il l’accompagna jusqu’au lit de sa mère, dans une autre aile de la demeure Itosugi, le laissant seul avec sa mère et ordonna qu’on ne dérange son neveu sous aucun prétexte. Akira resta longuement à contempler sa mère dans le coma, respirant faiblement. Puis, il lui parla, lui disant que tout allait bien et ce qu’il avait fait à son arrivé ici ainsi que toutes ses impressions… Il pensait sincèrement qu’elle l’entendait, du moins, l’espérait. Puis il lui dit qu’il serait Ninja et qu’elle serait fière d’elle avant de déposer un baisé sur son front et de lancer :

« Je reviendrais te voir maman ! »

Un poids quitta ses épaules et il sortit de la salle le sourire aux lèvres, heureux et vivant comme jamais.

Lui, Akira Itosugi, serait Ninja, peu importait le prix…

Test Rp :

Un jour de plus, un jour commun, un jour comme les autres. Comme d’habitude, il s’était couché tard, ne pouvant s’endormir à cause de tout ses cauchemar, toutes les fois ou il ferme les paupières, il revit son passé, le pensionnat et ses coups de bâtons ou de fouet, ils s’en foutaient de l’âge de l’enfant, de sa faiblesse, ils avaient tout les droits sur eux. Les enfants étaient leurs choses, leurs objets, leurs possessions. Il était monté tout en haut de la résidence du clan est avait accédé aux toits par une trappe dans le toit. Il monta les escaliers et regarder le ciel. Cela le détendait, en même temps que cette cigarette au bec. Une vieille habitude prise avec le vioque. Il repensa à lui avant de se dire que rien ne servait de se tourner vers le passé, toujours vivre vers le présent car, comme son nom l’indique, c’est un cadeau. Voilà ce que lui aurait dit ce vieux croulant qu’il adorait.

Le lendemain matin, huit heure du matin à peu près, un réveil sonne et un jeune homme ronchonne. Putain, qui à eut la bonne idée de mettre ce réveil aussi tôt ?! Il l’avait mit à dix heure hier soir ! Il ouvrit un œil, le referma, se retourna et essaya de se rendormir.

*JE suis sûr que c’est l’autre vieux encore!*

Et il avait raison, d’ailleurs, ce fût le même vieux qui vint dans la chambre, une moue désapprobatrice sur le visage, tira les rideau, une espèce de cloche à la main. A l’aide à un bâtonnet en métal, il frappa plusieurs coup sec sur la cloche qui se mit à sonner. CLING-CLING-CLING, cela faisait un rythme, c’est alors qu’il ouvrit la bouche et qu’il entama la fameuse et redouté…Chanson du reveil de Matsu !

« C’est l’heure de se lever, de danser cette super choré et de tout déchirer ! C’est l’heure de se réveilleeeeeeeeeeeeer ! »

Cria-t-il tout en se trémoussant devant notre pauvre étudiant. Pourquoi se lever, il se souvenait pas lui ! Bon, il s’était assis sur le coup de la surprise et en voyant son oncle continuer sa danse, il se recoucha sur le côté, lui tournant le dos. Tout tournant légèrement la tête, il lança au vieux ninja :

« Laisse-bet’, c’est pas comme ça que je vais me réveiller ! »

Il se fit tirer par les pieds et se ramassa la tête la première sur le parquet. Sa faisait mal…Sa tête ressemblait à peu près à sa : u_u mélangea à cela T-T. Il en avait marre de ce vieux loufoque là, il était sympa en journée mais le matin, il n’en pouvait plus ! Avec cette chanson et cette danse de…. Argh ! Il se leva pour incendier son oncle lorsuqe celui-ci lui dit sobrement :

« Aujourd’hui est le jour des inscription à l’academie »

Il ouvrit la bouche, la referma pour de nouveau l’ouvrir. Sans voix, il avait oublié cela ! IL sourit et cela suffit d’excuse à Matsu. Notre jeune Etudiant sauta littéralement dans la douche avant d’en ressortir cinq minute plus tard, un caleçon pour tout habit. En cinq seconde il enfila un baggy en jean blanc et un tee-shirt manche longue pourvu de bandes rouges sur les bras, au niveau des coudes. Il se coiffa à la va-vite, cachant sa cicatrice, enfila ses mitaines décoré de l’emblème du clan, des chaussures et de sortir de la résidence, un casque sur les oreille, écoutant Lil Wayne à toute blinde.

Il tapa son petit sprint matinale, courant dans la neige douce et fraîche de Yuki. Il adorait la neige, belle, douce et pourtant implacable lorsqu’elle était groupé. Le travail d’équipe était la base de la force des ninjas, c’est ce que son oncle lui avait dit, c’était aussi la force du clan Itosugi. Au fur et à mesure que la musique accélérait , lui aussi allongeait ses foulées. Il était assez endurant mais parvint tout de même essoufflé devant l’académie. Il se présenta à la dame de l’accueil en montrant ses gants et en déclarant tout simplement.

« Je viens m’inscrire à l’academie Ninja. Je suis Akira Itosugi. »

Sobre et efficace, sans gestes superflue, on le pensait sérieux dès qu’on le voyait en publique alors qu’il était le pire de tout les survoltés en privé. Elle lui donna un formulaire à remplir ainsi qu’un stylo. Il la remercia et lu attentivement le document avant de le remplir.

Une fois rempli, il déposa le document sur le bureau et se dirigea vers la sortie, son casque de nouveau sur les oreilles. IL parti en courant du bâtiment, calme, serein en apparence alors qu’à l’intérieur, il explosait de joie. Une Ninja, enfin.

Enfin pas toute à fait, il lui restait certaine chose à faire. Le premier cours était souvent quelque chose de décisif. On voyait la motivation des élève et leurs comportement. S’ils étaient digne de devenir de grand Ninja ou resterait civil jusqu'à leur mort. C’est pour cela que notre jeune homme, pourtant décontracter d’habitude stressait un petit peu, son premier cours se passerait dans deux jours et il lui semblait qu’il n’était pas prêt. Il rentra chez lui et vit son oncle qui le rassura. Il lui dit que ce serait d’abords théorique et qu’en suite, il allait pouvoir s’entraîner dans la demeure famillial. Il n’aurait donc aucun soucis pour être à la hauteur, et si il faisait preuve de détermination, il allait pouvoir impressionner le senseï. Akira remercia pour tout ses bons conseil et fonça en ville.

Le seul moyen pour qu’il ne soit pas tendu était simple…Les Sucreries ! Il adorait ça et le sucre contenu dans ses petites friandises lui permettait d’être calme. Enfin, il en avait l’impression mais à chaque fois qu’il ingurgitait une dose de sucre, il parlait encore plus vite et n’arrêtait pas de bouger, dans tout les sens. Enfin s’il n’avait pas sa dose de sucre, il se sentait mal. Il y en avait certains, c’était l’alcool, d’autre la drogue et enfin certains c’était les rapports physique. Lui c’était le sucre, pas pire que les autres mais pas mieux non plus. Enfin, après avoir fait ses courses, il se dirigea vers une petite buvette dans un marché et commanda un café bien chaud, une boisson qu’il affectionnait particulièrement. Je ne vous parle pas de l’état de son excitation après ce café qui le réchauffa. Il ne marchait pas, il faisait des bonds, c’était bizarre comme démarche mais il était heureux, enfin, il allait pouvoir tenir sa promesse. Il avait encore quelque chose à faire avant de retourner chez lui. S’allumant une cigarette, il se dirigera vers une petite clinique peu connu, récente acquisition des Itosugi.

Il se dirigea vers le bureau de la secrétaire et demanda :

"Bonjour, je voudrais aller salle huit s'il vous plait »

« Mais tu es le petit Akira ! La dernière fois que je t’est vu tu n’était qu’un nourrisson ! Tu viens voir ta mère je suppose ? Suis-moi"

Elle le mena à la salle puis le laissa tout seul après lui avoir souhaiter une bonne journée. Lui, devint sobre d’un seul coups et toqua trois fois avant d’entrer ? Il savait qu’elle n’entendait pas mais c’était une sorte de marque de respect envers elle pour notre jeune homme qui n’avait alors que quinze ans. Il déposa un bisou sur le front avant de s’asseoir et de lui raconter ce u’il avait fait cette semaine.

« Bon il faut que je rentre à la maison, je reviendrais bientôt. »

Sur le chemin, une larme coula sur sa joue. Pourquoi lui avoir fait cela ? C’était sa faute, il s’en voulait tellement de lui avoir causer une telle maladie… Et sa haine envers son père augmenta encore.

Temps de connexion sur 10 : 7/10 (je passe tout les jours)
Comment avez vous connu le forum :Partenaire d'un fofo mais je sais plus qui ><
Avez vous lu le règlement ? : Oui et j'le respecte M'sieur! =)

Spoiler:

Voilà ajout du test rp qui concerne monn incription à l'académie ^^.
Je signale aussi que, si je suis nommé genin, un paragraphe sera rajouté et que si je passe chuunin, ce sera un long paragraphe ^^.

Bonne lecture!^^

Bienvenue à toi !

Et bien je n'ai rien à redire à ta fiche, sauf peut être qu'il manque une réponse précise à la question 'avez-vous lu le règlement ?". Une phrase à copier/coller qui se cache dans le règlement, en fait =)

Ensuite, pour moi ce sera Juunin, sauf si tu désires avoir un grade au dessous (puisque tu n'as émis l'hypothèse de n'être que Genin ou Chuunin donc). A toi de choisir ; et je considère que tu es un Ninja de Suna c'est ça ? n.n

Très belle présentation, junin également, ou chunin niveau 4, a lui de voir.

Juunin ne me dérange pas mais je n'était juste pas sûr d'avoir le niveau réquis enfaite ^^.
Bon je fait un petit paragraphe pour compléter ma biographie et je rajout la phrase du réglement toute suite^^.

HRP[Desolé du double poste ><. Suite et fin de l'histoire]HRP



New Born

Le jeune homme était maintenant à l’académie et il était très motivé, il voulait rapidement augmenté son grade et devenir de plus en plus puissant ! Ainsi, il pourrait défendre son Ninja et son honneur de Ninja. C’était sa ligne de conduite, l’honneur, le prestige, la protection. Et les bonbons ! Il adorait sa les bonbons. Bref, il avait quinze ans et tout ce passait à merveille, il avait un oncle gentil qui l’encourageait et le consolait dès qu’il allait mal, une maison et quelqu’un qui l’attendait, même des personnes qui l’attendaient. Il se sentait chez lui et son senseï lui plaisait. Il était gentils mais dur avec c’est élève, enfaîte, le mot qui conviendrait le mieux serait « juste ». Voilà, si l’on travaillait en cours et que l’on était prêt à s’investir, il vous considéré comme un Ninja potentiel. Si, en revanche, vous faisiez n’importe quoi et chahuter pendant ses cours, il avait alors une irrésistible envie de vous claquez et de vous renvoyer à la maison.

Mais tout n’était pas rose dans sa vie, sa mère était toujours dans le coma et ne semblait pas avoir envie de se réveiller. Il se sentait encore coupable et l’idée qu’elle ne se réveille jamais l’hantait chaque nuit, à chaque seconde de sa vie, à chaque pensées, à chaque actes qu’il faisait. Toute les nuits, il ne dormait pratiquement plus, préférant admirer les étoiles du toi de sa grande maison, seul, une cigarette pour seul compagnie. Ainsi que ses pensées noires et tristes. Tout cela le troublait, tout cela faisait qu’une petite boule de haine était en lui, une graine qui n’attendait de germer le moment venu, le moment propice et inattendu. Cela se passait souvent, le soir, lorsque certains se permettait de l’insulter, de le charrier à cause de sa petite taille ou alors car sa tête ne leurs revenait pas. Un soir, il sortait de l’académie tard et croisa une forte tête de son cours, qui venez d’être renvoyé du cours. Celui-ci se nommé Kitaï. Comme son père. Déjà, il n’était pas parti sur une bonne base avec Akira, il avait un prénom le faisait lutter contre sa pars d’ombre, cette pars d’haine en lui qu’il n’arriverais sans doute jamais à éradiqué. Lorsqu’il lui dit qu’il pouvait aller se faire voir lui et sa famille tordu car il était en colère d’être renvoyé, il ne se doutait pas de ce qu’il allait suivre.

Akira n’était aps grand, il semblait faible mais étudiait tout les jours, pratiquant tout les exercices demandé et même plus encore. Il travaillait son corps à chaque fois qu’il se sentait mal ou qu’il voulait occuper son esprit. Il avait élever à rang de religions le travail physique et était devenue rapidement un jeune fait de muscles…Sans graisse ni rien de superflus, il n’était qu’une boule de nerf et de muscles.

On retrouva la victime, le nez cassé, les arcades ouvertes, la bouche tuméfier et certaines côtes cassés et inconscient. Akira ne fut pas soupçonner par les instances supérieur de l’académie mais son professeur s’était tut, il le connaissait tellement bien.

Il passa l’examen Genins rapidement et avec succès, premier de sa promotion, cette haine grandissant toujours plus. Plus celle-ci augmentait plus il augmentait la difficulté de ses entraînement et un régime de vie plus dur. Tout les jours il faisait une vingtaine de kilomètre en courant en prenant que deux poses, puis une seule. Il lançait les shurikens, les KunaÏ pratiquait le ninjutsu mais surtout le taïjutsu. Il aimait utiliser ses poings, ce salir les mains. Bientôt, des bandages apparurent sur ses mains car il frappait dans les rocher pour se renforcer les mains et écarté ses nerfs… Surtout celles de ses extrémités. Il façonna aussi ses genou et ses coudes de façon à ce qu’elle soit en pointe [Pratique courante dans la boxe thaï]

Il fut le première Genin à être promu Chuunin et il était toujours autant haineux envers ce père et lui même. Il se faisait violence, il s’interdisait certains plaisir à cause de sa mère et n’écoutait pas les conseils que lui prodiguait son Oncle. « Aller de l’avant, ne pas ce tourner vers le passé » Trop tard, le passé était son présent.
Bientôt, il fut nommé Juunin de pars ses actes reconnu comme exeptionels et ses missions toujours réussites.

C’est à partir de là que commence notre histoire.