Mugen

Mugen

~Nom~
???
~Prénom~
Mugen
~Surnom~
crève-la-faim
~âge~
21 ans
~sexe~
Masculin
~Taille/poids~
1,81m/79Kg
~Aspiration~
"Vivre de mon art"
~Affinité~
Katon
~Spécialisation~
Ninjutsu => Dispositif de contrôle de chaleurs
description: Un dispositif dont Orochimaru est l'auteur. Une arme à l'instar de celle d'Abumi Zaku qui aurait la capacité de permettre à son porteur de contrôler les différentes source de chaleurs alentours.
Condition:
Ne peut créer directement de la chaleur
La chaleurs émanant d'un homme moyens ne lui permet pas de contrôler ce dernier ( no Super héros )
Un apprentissage est nécessaire et des niveaux jauge la puissance du dispositif. ( le niveaux dépend du niveaux du porteur )
Une manipulation courte est équivaut à une technique de niveaux moyens, une manipulation longue équivaut à une technique de haut niveaux. ( les techniques seront préciser si toutefois cette armes est accepter. Si elle ne l'est pas je m'improviserait un clan bien que ça me semble exagéré au vue de la capacité que je requiert. )
~Village~
Tsuku

~Description Physique~
Une apparence plutôt discrète, une prestance presque inquiétante auquel s’ajoute une allure si intrigante…
Le premier détail qui interpelle quiconque l’observe se trouve être sa tenue : Vêtu d’un ensemble sombre et grisonnant Mugen arbore ce qui semble être un première ensemble moulant recouvert d’un second plus ample. Des chaussures légères pour ne pas dire insignifiante ainsi qu’un voile blanc dissimulant la quasi totalité de son visage. Ne laissant paraître que son regard, sa chevelure et une breloque situé sur le lobe gauche du jeune homme. D’apparence intrigante comme mystérieuse soulignant une personnalité particulière. Car s’il on à l’impression qu’il se néglige par ce style d’accoutrement le mercantile s’abandonne à la sobriété pour ainsi dire cette simplicité se veut discrète et anodine aux yeux du monde.
Or mis cette allure simpliste, un corps fort attrayant qui à première vue en ferait frémir plus d’une (…) Une anatomie plutôt enrichit sans trop pencher dans la vulgarité. Des muscles présents, des formes généreuses, un look qui impose le respect. A noter la présence d’un tatouage divulgué sur son bras gauche… Son visage serte voilé se veut fin et marqué sans être pour autant grossier. Des yeux marrons claire apportant à son regard cette sévérité ensorcelante. En bref, c’est avec un aspect négligé mais fort que Mugen s’érige dans la société.

~Description mentale~
Si le jeune homme est d’un aspect intriguant cela n’enlève rien de son authenticité. Car à l’image de son apparence son caractère est des plus intriguant.
Dans un premier temps anodin, le caractère du jeune homme se veut être simpliste mais inexploitable. Aspirant à ce qu’il estime juste selon lui, il arbore l’idéalisme mais en vie.
Son passé fut dénonciateur de sa mentalité : Forgé parmi les gueux cette classe social dont l’importance relève de l’insignifiant Mugen a su faire preuve de dérision et d’abnégation pour devenir ce que la société ne voulais pas qu’il soit. Son père modeste forgeur mais aussi ferronnier dans ses heures d’inspiration n’a pu faire profiter sa famille de sa profession car trop mal payer elle s’avérait être plus un hobbies qu’un véritable emploie. Sa mère quand à elle se plaisait au foyer mais était quelquefois contraint au pires sévices du bas peuples. Mugen n’aspirait jadis qu’à la prospérité et la reconnaissance. Enfouit dans les mythes et les légendes il ne s’instruisait pas mais acquérait la connaissance, celle du passé. La profession de son père le fascinait si bien que son histoire la rendait unique elle et celui qui en avait la charge. De la Grèce au Japon, le métier du feu, celui où la chaleur dompte le fer, où le fer subit l’imagination de celui qui le forge, fut moyens pour un paysan de côtoyer les dieux et les nobles à l’image de Vulcain mais encore...
Si Mugen s’y intéressait, si cette art modelait son caractère c’était parce qu’il savait qu’il était son seul avenir et le seul moyens pour lui de gagner le respect. Plus qu’un art, le symbole du feu attisait son désirs si bien qu’il ne vivra plus que de ça.
Aussi son caractère fut telle que son père l’aurait voulu, simple mais parfois étroit... Favorisant les relations sociales sans pour autant dévoiler la moindre naïveté mais l’insouciance le guète...

~Histoire~

I/ Préambule ou mensonge ?
Croyez vous aux histoire ? Aux mythes ou à ces contes dont le seul objectif est de vous faire rêver, souvent d'un monde que vous n'obtiendrait probablement jamais (...) Si telle est le cas alors écoutez:
Le monde moderne issu des hommes se dégrade sans cesse. Alors que ces derniers, avides de connaissances et de pouvoirs étendent leurs avancements à travers les âges, le genre humain périt laissant place aux nouvelles générations. La société en déclin force les hommes à débattre sur l’avenir qui est plus que jamais menacé. Les ressources s’affaiblissent, les puissances se rétractent et pourtant, les hommes s’obstinent à croire que le monde se porte bien. Altéré par la connaissance, ils vont bouleverser leur temps dans l’unique but de reproduire un travail identique si ce n’est supérieur à celui que certains appellent « Dieu ». C’est alors que la science naquit. Ce même domaine qui illustre par des recherches mais aussi des actes le désirs accrut des homme : Celui de la connaissance du monde dans lequel ils évoluent. La déchéance des hommes étant source d’ennui a provoqué depuis des temps immémoriaux une frontière séparant les homme cultivé dont les noble vertu n’égale que leurs distinction au autres, autrement dit, le peuple. Une Limite qui séparait le haut de l’échelle social au plus bas… L’argent manquait chez les plus pauvres mais ne satisfaisait pas les plus onéreux (…) La vie devenait coûteuse presque pénible pour le peuple. Bien sure cette représentation du monde n’était qu’une généralité car certaines provinces, certains villages régnés par le pouvoir du peuple se voyaient envier presque convoité. Par mis ces paysans considéré comme des déchets, un jeune garçon : L’histoire est celle d’un jeune homme dont l’enfance n’a été qu’une suite d’échec et de trahisons le tous baignant dans un bain de sang. Il naquit sans nom, il vécut sans la moindre identité fixe et pourtant il réussit à s’imposer mais c’est le cœur rempli de peine qu’il subsistait… Nous le connaissons, nous le craignons sous le noms de Mugen mais quand est-il de sa véritable identité ?
Originaire d’un district où règne la délinquance et la violence Mugen naquit par mis les consanguins, les gueux et vagabond soit l’ensemble de cette classe social qui situe la pauvreté et la misère. Orphelin et livré à lui-même, personne n’a jamais su d’où il provenait… Il se racontait que le jeune homme ait été abandonné par ses parents qui par manque d’argent n’avaient guère les ressources nécessaires pour subvenir aux besoins d’un enfant. D’autre prétende qu’ils aient été assassinés lors de la dernière guerre civile opposant misère et noblesse. Vous l’avez compris ce monde dont Mugen est prisonnier est différent du votre. Violence et criminalité sont seuls moyens de s’en sortir et de trouver le respect. Une notoriété que le jeune garçon va apprendre à côtoyer car sans ça il se fera manger. Il fut élevé dans la rue à même le sol, il vivait de déchets et se divertissait par les cadavres gisants de ceux que l’on considérait comme « Faible ». Mugen appris dès sa plus tendre enfance par les tueries et les massacres à se défendre contre l’étranger, à préserver son honneur.
Son environnement n’était qu’un abattoir et un jeune enfant comme lui ne pouvait être que traumatisé par tant de haine. Son destin n’en était que tracé mais dans une fâcheuse direction. Les gueux le voyaient grandir et les femmes accablées par tant d’inhumanité se lamentaient. Voir un tel garçon d’à peine 10 ans trouver un éventuel plaisirs à jouer sur les corps défunt soulignait l’aberration des hommes.

II/ Révélation dans le mensonge
Le jeune homme encore dépourvut d’identité mûrissait plus vite qu’il n’y paraissait, sans doute trop vite. Il n’avait qu’une dizaine d’année et on ne le considérait plus comme un enfant mais comme un adulte. Ceux qui l’ont élevé vinrent à profiter de lui, de ses services et de sa naïveté. Il soufra durant 3 longues années (…) C’est durant ce temps qu’ils fut soumis et humilié. Lui qui voyait enfant, des adultes outragé par le banditisme il subissait à son tour les règles du bas de l’échelle social. Sa naïveté n’était finalement qu’une carapace car si le jeune homme paraissait doux et innocent ses pensés n’en était pas moins effrayants et malsaine. Lui qui vu une centaine d’hommes et de femmes se faire étriper par l’étranger, lui qui a vécut bercé par la violence et la mort… Son courroux n’était plus qu’à quelques jours… Tant de souffrance pour un si petit garçons (…) Maltraité, abusé il devenait presque assimilé à une bête. Seulement les effets du temps que l’on considère souvent comme néfaste pour l’homme ont été bénéfique pour le jeune homme. Atteint ses seize ans l’adonis, en age de se rebellé trouva la force et la volonté qu’il a durant des années puisé dans le corps des victimes assombris pour mettre fin au massacre. Il ne supportait plus cette dictature au quelle les habitants était soumis. Il réinstalla la lois du plus fort et comptait s’opposer en tant que maître des lieux : Une sorte de revanche sur tout ces être abjectes qui le considéraient comme faible.
On ne peut cependant pas se priver d’évoquer la tragédie du 10 avril sans qui la rébellion n’aurait pu exister. Ce jour où le jeune éphèbe assiégea tout un district et s’affirma comme seul maître des lieux. Sa force destructrice, son physique avantageux endurcit par des années de souffrance et sa folie meurtrière dont laquelle il souffrait furent à l’origine d’un tel évènement. Suite à ça, l’homme qui fit jadis piétiné et dépourvue de nom s’auto-prénomma Mugen et de cette date fut fixé celle de l’anniversaire de Mugen où l’on fête la fin d’une dictature et le début d’un nouveau massacre.
Car ne vous détrompez pas : Mugen n’était pas un saint et s’il abhorrait la délinquance il affectionnait la tuerie et le combat, son seul moyens de s’affirmer. Tous les hommes assez fous pour s’y opposer trépassaient sous sa lame aiguisé ou sous ses poings ravageur. Plus le combat durait plus son aliénation gagnait son esprit. Une folie meurtrière presque absurde qui lui valut le surnom de « Yôma ». Car à cette folie s’ajoutait une étrange manifestation, comme si son corps devenait aberration, presque hybride… Encore une fois son passé refait surface et des interrogation s’impose sur le jeune garçon : D’où provient-il ? Qui sont ses parents ? Qu’en est-il de ses ambitions ?Rien de tout cela n’avait de réponse ce qui rendait le garçon bien plus intéressant. Il arpentait les rues de son district à la recherche de nouveaux défit, traumatisé par son passé, la tuerie n’était pour lui que le seul moyens d’essorer son esprit de tant de sangs. Mais il n’en faisait rien, hélas chaque combat le rendait plus abjecte… Le jeune homme dû patienter et attendre sa majorité pour quitter le berceau. Quitter cet endroit, cimetière et catacombe… Sa majorité se fit attendre mais une fois venue la satisfaction en était plus grande encore. Mugen avait belle et bien l’intention de renoncer à sa tyrannie en ce lieux dépourvut de talent mais semblait vouloir l’imposer partout dans le monde. Il ne pouvait plus faire marche arrière. Traumatisé et trahit par les siens, ceux qu’il considérait comme des parents, le jeune tyran ne trouvait plus la force de se calmer. Son esprit déstabilisé était telle que la fuite n’était plus envisageable, c’était lui ou eux (…) Ainsi Mugen disparut dans la nature à la recherche de nouveaux défit…. Supprimer les traîtres était ça seul ambition. Mais comme incapable de vivre sans le passé, Mugen se voyait comme attirer par de terrifiant projet notamment celui de se confronter à son passé, à ses origines. Et de rétablir ce qui devait l’être… Contraint à la revanche Mugen demeurait dans la tourmente…
Est-ce le véritable passé du jeune homme ? Peut-il affirmer avoir vécut ainsi ? On ne peut différencié le vraie du faut que lorsque notre esprit admet un e infinité de possibilité.

III/ Un aveux : Les hommes croient tous ce qu'ils veulent croire
Nombreux sont les contes, nombreuses sont les légendes et les fables qui content l’épopée d’un héros, la tragédie d’un homme, le merveilleux voyage d’un adonis. Tous s’adresse à une clientèle plus ou moins ouverte à d’autres monde, à d’autre univers sans qu’il y ait pourtant cohérence. Si certains veulent approcher la réalité d’autre s’en éloigne sans fin pour bâtir peut être leurs propre utopie. Maints ouvrages vous ont fait rêver, maintes allégories vous ont fait voyager mais aucune de toutes ses chimères ne vous apporte le désir de vivre. Ce monde est le votre et nul n’a su en franchir le seuil. Qu’elle en est la cause ? Ces fictions où deux civilisations trouvent la paix, où la mort s’effectue en quelques mots… N’ont-elle pas leur place dans notre monde ? Si les histoire son réfuté, celle de ce jeune homme vous paraîtra futile. Car cette histoire est celle d’un enfant pour qui les mythes ont réelle signification, pour qui les récits outragés enrichissent l’esprit et permettent la création. Il naquit d’un temps où la femme clamait ses droit, où l’homme menait mille et une conquête, où dieux représenta qu’un simple culte auquel on s’attache et qui s’avère être plus un moyen d’intégration qu’une croyance éternel. Eveillé parmi les gueux, le jeune homme vécut de la profession de son père, de l’amour de sa mère et de la reconnaissance de son frère… Si les siens étaient pauvres il se considérait comme riche en connaissances. Rares étaient les gosses de son âge dont les intérêts convergeaient vers l’histoire et la guerre. Son aïeul lui appris la guerre et son ancêtre, l’histoire. Agité dès l’enfance le jeune garçon portait un intérêt indéniable pour ces mythes chimérique que l’on voit inscrit dans les roches. Ceux qui n’insinuent pas l’existence d’éventuel être de sang Divin mais qui l’affirme. Ce début d’existence fut hélas pour lui banal. Pour subvenir à ses besoins, quelques livres volées sur le marché publique et de la nourriture à peine consommable voilà le peu que sa famille pouvait lui apporter. Mais il en était satisfait car pour lui la vie qu’il menait était liée à ses idées, à ce qu’il croyait. Chaque épopée, chaque conte et histoires, qu’elle soit sombre ou joyeuse connaît l’élément qui vint troubler l’allégresse. On l’introduit par un « Mais », par une négation et l’achève par une vigueur si forte qu’elle transmettra au lecteur l’enthousiasme tant convoité. ( suite page suivante)

Pour celle du jeune éphèbe l’élément fut pour le moins inhabituel : Car à l’inverse de ces héros à qui l’on envie la vie, l’élément subversif s’avérait être le héros lui-même. Agité serte mais dans un état de conscience l’adonis reflétait la joie de vivre, le mérite de son père et le désirs d’incarner un de ces héros grecque. Mais cette effervescence vint à perturber le jeune homme, à révéler un lunatisme menaçant. Pris d’aliénation par peine ou contradiction, l’éphèbe comme insaisissable aurai commis l’irréparable. Bien que cette schizophrénie sera dans un premier temps considéré comme maladif, certains vinrent à croire à une malédiction. Une légende grecque conte l’évolution d’un homme. On le surnommait pas, on le nommait pas. Il n’avait aucune identité et avait pour seul fierté sa maîtrise du fer et ses besognes auprès d’un forgerons. Seulement, se révélant différent des hommes le misérable se verra écarté de son village où il accomplissait un véritable travail. Aussi, faute de naître inhumain le gueux fuit son future et sonde plaines et mer à la recherche de son passé. La similarité était bien là mais cela n’avait rien d’une légende ou d’un mythe et Mugen aussi courageux soit-il n’avait rien d’un héros. Ce n’était qu’un enfant de 15 ans qui malgré tous ne pu vivre en paix. D’abord isolé puis privé de ses biens, celui que l’on surnomme « Yôma » (Démon) connaîtra la réclusion. Ses proches, effrayé par tant de haine, par tant d’abjection chez le jeune homme et poussé par les témoins seront contraints à l’abandon. C’est de cette contrainte que débuta l’épopée d’un homme (…) Un homme compétent qui prendra la vie comme elle lui viendra, pour qui l’enfance n’est qu’une leçons, une épreuve enduré pour pouvoir vivre pleinement… Il y a histoire quand ce qu'il se passe peut être raconté ou mis en récit. Mais cette histoire s'écrit après coup. "Avoir une histoire" c'est d'abord la vivre sans penser à la formuler. Choisir ou ne pas choisir ne serait donc pas décisif. "Avoir une histoire" c'est donner du sens à la succession d'évènement vécut. Ainsi le sujet structure sa mémoire avec une part de fiction irréductible car il ne fait qu'interpréter sa vie. Est-ce vraiment le cas ? Peut-on à nouveaux affirmer avoir entendu l'authentique passé du garçons ? Comme les Hommes s'interrogent sur leur existence nous ne pourrions prouver l'authenticité d'une histoire sans son héros. Retenez simplement: Mugen est un voyageur crève la faim et charismatique dont les intentions ne sont pas claire ni définit. Vivant de son emploie il subvient à ses besoins, sert qui le souhaite mais ne fera jamais marche arrière. Considérez son histoire comme un livre dont on ne peut tourner les pages que dans un sens(...) Les corner serait mettre fin à son existence.
Finalement une histoire n’est pas nécessaire à la vie d’un homme. Le connaître est d’avantage suffisant pour en déceler le passé. Celui de Mugen méprenez vous est tout à fait banal... Apprenez à le connaître et il saura tourner les pages de son histoire.

Temps de connexion sur 10 : ( détails si possible )
8/10
Comment avez vous connu le forum :
Naruto Vs Sasuke
Avez vous lu le règlement ? :
«J'ai pris connaissance des règles et je m'engage a les respecter. »

~Test Rp~
Le soleil à peine levé, les oiseaux murmurait leurs plaisant chant d'été, le ciel voilé d'une fine brume grisâtre réchauffait les cœurs assombris et au loin une douce mélodie. Harmonieuse et en total accord avec la nature elle entraînait les nuages, le vents puis le temps... L'auteur de cette agréable féerie semblait illustrer dans sa création une certaine peine et un ennui décadent. Les oiseaux même ignoraient d'où provenait tant de bienveillances mais c'était si gai qu'il ne purent s'ajouter à la prestation par leur sifflement aigu et pénétrant.
Le paysage comme endormis écoutait les plaintes de l'auteur sans la moindre compassion. Un paysage au relief imposant et à la flore quelques peu absente. Un lac venait apporter un irréprochable divertissement qu'il soit visuel ou auditif. Et c'est non loin de ce lac que la mélodie fut le plus perçant. À quelques mètres à peine de ce vaste étendu d'eaux se trouvait un abri simple et humble, construit d'épaisse dalle de bois. La nature entière réduit au silence témoignait d'un homme aux sentiments divergeant. L'auteur à quelques pas de l'abri, sur un fauteuil à bascule se contentait d'émouvoir le paysage... Et comme jamais il jouait de son Aulos. Un hautbois constitué de roseaux dont la valeur inestimable provenait d'une légende Grecque. Selon la légende, l'Aulos est inventé par une déesse pour imiter le thrène funéraire d'une créature divine. Un instrument d'autre part aurait l'unique possibilité d'émouvoir les vents et les influencer. À voir le jeune auteur s'approprier le paysage entier par un air calme et soporifique on pouvait concevoir toutes légendes.
Seulement ce ravissant spectacle comme les idées qu'il représentait se voulait être éphémère. Aussi après un court moment de prospérité la mélodie cessa. Comme pour un retour à la réalité la nature, le paysage entier et toutes formes de vie environnante se voyaient reprendre vie après s'être assoupi sous la création d'un homme.
Cet homme lui ne semblait pas reprendre vie bien au contraire, tout ce qu'il avait extériorisé par sa musique paraissait être enfermé dans ses pensés. Dans un effrayant silence l'auteur, un jeune homme aux allures communes patientait avant de reprendre vie à son tour. Mais alors qu'il jouissait de son temps un troisième protagoniste s'ajoutant à l'auteur et à la nature vint perturber cet entraînant silence.
Sorti de nul part, ce deuxième homme, joufflue et influent vint heurter la réticence de l'auteur. Il se dressait telle un majestueux privant le créateur du moindre rayon de soleil filtré par le voile blanc des nuage toujours présent.
Le novice peut être par crainte ou par respect se tu quelques temps avant de lancer ses premières déclarations. Pendant ce temps l'auteur toujours irréprochable ignorais la moindre présence, pour lui il n'y avait que la nature et lui.
Cependant il fallut que le raisonnable vilain passe à l'impertinence aussi il ne pu s'empêcher de déclarer à l'auteur :

Mugen... N'en a tu pas assez de flâner ici ? Dieux sait que ton talent est désiré et convoité alors pourquoi ne pas faire ce que tu a toujours aimé faire ?
Tu étais un garçon arrogant qui n’hésité pas à user de fourberie et de ces armes pour arriver à ses fins… Il serait peut être temps de reprendre du service tu ne pense pas ?

Une déclaration forte intéressante qui malgré sa présence indésiré indiquait qu'elle hommes étaient l'auteur et révélait son identité. Mugen Alias Crève-la-faim: Un nom qui ne parlera à personne car discret l’auteur ou plutôt, Mugen fut un homme déchu de la société qui a pu survivre dans ce monde que par une réputation importante mais néfaste. Un délinquant comme on en fait plus qui faute de n’avait pas assez investit dans ses projets professionnel a sombrer dans la criminalité l’argent étant seul source de bien être dans cette utopie…
Mugen enchaînait les petites besognes pour des hommes dont la justice a tenter à maintes reprises l’incarcération définitive mais toujours ils l’évitèrent. Ils géraient les plus grands flux d’argent et de drogue du monde entier.
Ce monde moderne issu des hommes se dégradait sans cesse. Alors que ces derniers, avides de connaissances et de pouvoirs étendaient leurs avancements à travers les âges, le genre humain périssait laissant place aux nouvelles générations.
La société en déclin force les hommes à débattre sur l’avenir qui est plus que jamais menacé. Les ressources s’affaiblissent, les puissances se rétractent et pourtant, les hommes s’obstinent à croire que le monde se porte bien. Mais la vérité était tout autres : Le monde se voyait progressivement envahit et contrôler par une délinquance qui ne cessait de se développer. Seulement ce temps était résolu et Mugen encore jeune ne paraissait plus animé de passion et d’envie de combattre et d’aller toujours plus loin. Sa paresse avait délicatement au fils des années pris le dessus jusqu’au jour où son seul but n’était plus que d’attendre la mort comme un vieil homme. Cependant l’argent se voyait réclamé et sans argent pour subvenir à ses besoins journalier Mugen ne pouvait continuer à vivre ainsi en flânant et en paressant en attendant que la chance ce pointe. L’incorrigible éprouvait de plus un manque charnu d’aventure et de danger. Lui qui vivait autrefois sous les feux intempestifs de la guerre, lui qui dormais entre les corps gisant de ses hommes, lui qui a dit « Si les homme mon rejeté, alors je n’ai plus qu’à m’imposer (…) Que la société me considère comme une gêne qu’il faut éradiquer sans quoi elle la dominera » Mugen était belle et bien un briguant comme on en fait plus. Un homme pour qui la vie n’a de sens que lorsque leurs victimes trépassent sous la menace de sa lame. Mais croyez le où non le jeune homme n’avait rien de tout cela. Il est vraie qu’il a durant des années tué pour survivre mais le gueux s’avèrent être une personne éduqué voir intelligente. Comme quoi, l’habit ne fait pas le moine et pour le cas du jeune homme le proverbe concorde parfaitement. Le crève-la-faim, Mugen de son vraie nom a vécut toute sa tendre enfance au seins d’une famille d’accueille dont l’éducation presque irréprochable enseigne les vertus les plus droites et sincères. Le jeune homme descendait d’une piteuse famille de Gueux dont la richesse n’atteignait que rarement le seuil de pauvreté de l’époque. La mère sans aucun travail se contentait de se prostituer pour subvenir à certains besoins tandis que le père exploité se vouait entièrement à sa profession de forgerons. Un fils aîné d’une vingtaine d’année dont le seul destin semblait tourné vers les jeux de fortune et rien d’autre. Un homme d’argent qui perdait plus qu’il ne gagnait. Seulement la petite famille semblait soudé mais apparemment cela n’a pas suffit et le jeune mineur s’est vue éloigner de se monde salit et misérable pour vivre les quelques années restantes de son minorité au seins d’une famille de bourgeois pour qui l’argent ne manquait guère. Le jeune homme par la suite va être initié aux arts médicaux (…) Chirurgie, Acuponcture tout y passait. Il était contraint à cette initiation qui ne lui servira finalement à rien dans le sens où le jeune adonis va quelques années plus tard rejoindre le bas de l’échelle social. En effet, une fois sa majorité atteinte Mugen a rejoint la délinquance pour une simple et bonne raison : Selon lui la délinquance représentait le peuple du bas et ses parents étant de ce même partie, le jeune effronté souhaitait redonné au peuple le peu de fierté qui lui était destiné. Car l’argent manquait à tous et il n’était pas le seul à vouloir rétablir un certain ordre… Aussi le jeune homme s’investigua dans le trafic d’homme, d’argent et d’arme jusqu’à obtenir une notoriété suffisante pour pouvoir agir en son propre nom ainsi le jeune Mugen se fit appelé Yôma. Ce pseudonyme fut toutefois de courte durée... Plus tard, l’incorrigible Mugen entrepris un projet des plus surprenant presque inatteignable. De par ses facultés médicales il souhaitait investir dans la création. Car il ne fallait pas l’oublié, Mugen était un homme et comme les homme il se voulait ambitieux et désireux. Comme les hommes ont étudié notre monde pour obtenir des réponses, Mugen avait décidé d’étudier notre corps pour obtenir un résultat parfait.
Ainsi celui qui se servait comme passeur d’argent et de drogue s’ajouta à la liste des nombreux criminels dont la réflexion ne sert plus à la tuerie mais à la science et à la création. Il n’était pas devenue un scientifique à proprement parler mais simplement « un homme pour qui la médecine sert non seulement à tuer mais aussi à illustrer à travers un corps nos pensé et nos désirs les plus fous » Par la suite le désireux s’est vue abandonné ses projets atteint d’une indolence incurable. Ainsi il devint l’homme fainéant qui se trouvait être l’auteur de la douce mélodie dont les cœurs ont été brusquement interrompue par un individus impertinent mais toutefois familier aux yeux de Mugen . Devant lui, cet homme farfelu et grossier semblait vouloir le ramener à la raison. Ce garçon n’était pas n’importe qui. Il était l’un des plus vieux amies de Mugen et même si son corps flétrie et important ne le montrait pas il était un compagnon d’arme surprenant de l’époque où l’adonis était un criminel. Il se faisait appelé Jabura et c’est sous les ordres de Mugen qu’il atteignit la gloire et la notoriété. Mais pour une raison inconnue les deux hommes semblaient s’être perdu de vue… L’auteur irrité par les paroles de son ancien compagnon ne pu s’empêcher de répliquer. Chose qui confirmera la présence d’un caractère quelques peu spécial.

Ferme la ! J’ai pas besoins des conseilles d’un pochtron ! Mugen soupira avant de déclarer à nouveaux :
Je suppose que je n’ai pas le choix hein ?

Quelques peu vulgaire Mugen semblait mécontent des paroles de l’intriguant Jabura. Mais étrangement, après un bref soupire le capricieux fini par se soumettre. Un retournement peu compréhensible mais qui s’explique par un fait passé :
Il y a 5 ans de cela, alors que Mugen n’était qu’un vulgaire jeune garçon avide d’aventure et de nouveaux horizon il entrepris ses long projets illégale au coté de son compagnon le plus fidèle, Jabura. En ce temps leurs besogne consistait à occuper le marché médicale et se vouer à de nombreuse expérience afin de créer qui sait, une armée entière peut être Choses compliqué compte tenu du fait que les deux chasseur se voyait traquer sans cesse. On ignorais où les deux hommes contenait aller avec de telle projets et de telles ambitions nul ne savait qu’elles étaient leurs véritables intention. Seulement un jour le jeune Mugen fut lassé de cette vie. Il voulait vivre une vie normale avec une femme et des enfants chose que tout homme se respectant convoite. Cela pouvait témoigner d’un des sauts d’humeur réfractaire du jeune homme ainsi que d’un lunatisme à l’exemple de cette retraite anticipé peu changer toute la vie de cet homme. Aussi Jabura lui accorda 3 années de répit. Trois longues années durant lesquelles le jeune Mugen sera libre de ses mouvements et de ses actions. Ce dernier préféra ainsi s’isoler dans une auberge loin de tous les soucis de la ville. Durant trois ans le lunatique Yôma s’est vu flâner dans un magnifique paysage où seul la nature dicte les règles. Une énorme satisfaction pour le jeune homme… Mais hélas ces trois années s’écoulèrent plus vite qu’il ne le pensait. Aussi après trois années de répit le jeune homme se voyait rappelé à l’ordre par son jeune compagnon qui pendant tout ce temps avait remplacé entraînement et combat par restaurant et détente. Mugen avait ainsi donc pas le choix et se devait de reprendre ses fonctions.
C’est muni d’un regard sombre et méprisant qu’il se leva et ôta ses habit relax pour d’autres beaucoup plus réglementaire. Et bizarrement lorsque son regard croisa celui de son compagnon un léger mais certain sourire se dessina sur son visage. Un sourire qui témoignait de l’authentique esprit du jeune homme. Ces trois années n’était finalement qu’une courte pause offerte à Mugen afin qu’il puisse à nouveau trouver l’inspiration pour ses prochaines ambitions. Ces projets, ni même son avenir était inconnu mais on pouvait déjà redouter ses facultés et son esprit instable. Capable de tous et de rien, son destin baignait dors et déjà dans le sang (…)

Bonjour et Bienvenue sur SNS !

• Quel village choisis tu ? Je pense que tu devrais être déserteur, vu ton histoire
• Pour l'arme, je ne comprend pas. Ce serais une arme, ou un PH ? Dans les deux cas, une fois alidé, tu devras les faire valider. Pareil pour les techniques qui les accompagne.
• Mets toi un avatar
• Un vocabulaire très riche, qui rend le rp très agréable a lire.
• Chose assez étrange, tu ne parle pas de ton apprentissage ninja...

Je propose niveau 6, car ton rp est vraiment très élevé...

Premièrement, voilà ce à quoi j'avais pensé pour l'arme que je requièrt :

Dispositif de contrôle thermique
Description : Un dispositif créé par Orochimaru lors de ses dernier jours (...) Puissant mais défaillant elle se traduit par un appareille situé dans la paume de chacune de ses mains. D’un point de vue externe ont remarque un orifice dans le creux de ses mains.
Capacité : La capacité du dispositif réside dans sa faculté à créer et à maîtriser des vagues de chaleurs. La puissance des différentes techniques et maîtrise est jaugée par 3 niveaux différent. Ces 3 niveaux sont propre au dispositif mais équivalent à un grade. ( donc plus le grade est élevé plus le chakra nécessaire à l'usage de la technique est important )

Technique :

Usage Basique:

Description : L’utilisateur contrôle le mouvement et l’intensité d’une vague de chaleur ou d’un corps dont la température :
- Surpasse 50° mais n’excède pas 200° (niveau 1 équivaut à une technique de Chuunin)
- Surpasse 200° mais n’excède pas 1050 ° (estimation de la température émanant d’un feu moyen) (niveau 2 équivaut à une technique de Juunin Spécial )
- Surpasse 1050° (niveau 3 => Sanin légendaire / Kage)

Vision thermique :

Description : L’utilisateur détecte toutes source de chaleurs environnante
- sur un périmètre de 10 mètre (Niveaux 1 => Chuunin)
- Sur un périmètre de 1 Kilomètre (niveaux 2 => Juunin)
- Sur un périmètre de 10 Kilomètre (Niveaux 3 => Sanin/Kage)

Canicule :

Description : L’utilisateur créée une vague de chaleur
- dont la température n’excède pas 200° (niveau 1 équivaut à une technique de Chuunin
- dont la température n’excède pas 1050° (niveau 2 => technique Juunin Spéc )
- dont la température n’excède pas la température maximum que peut contenir l’atmosphère terrestre ( niveau3 => Kage)

Surchauffe :
Description : L’utilisateur entrechoque deux vagues de chaleurs de même température pour créer un immense brasier. ( demande 3 poste d'abstinence au combat)
- dont la température et le mouvement ne peut être contrôler (niveau 3 => Kage + entraînement et isolement de 48 H)

C'est pour moi plus que convenable et adaptable aux règles du forum (...)
Il va de soit qu'ayant un grade de Juunin je ne peut utiliser une technique de Kage... Pour ça je devrais acquérir d'avantage d'experience mais avant tout l'estimation de Kage. ( même si cette objectif est loins et sans doute atteignable.

- L'avatar se fait attendre désolé

Et bien !
Je vois que tu as déjà bien réfléchit a ce pouvoir !

J'attends un autre admin pour confirmer ton grade et je pourrais te valider.

Et sinon, quel village choisis tu ?

Bienvenue à toi =)

Bon pour ma part tout est bon, je suis d'accord pour le grade de Juunin niveau 6. Tu seras validé après avoir choisi ton village Wink

Au passage, très belle fiche =3

Up !!
Mugen a choisi son village. Reste plus qu'à le valider s'y personne ne s'y oppose?

Validé en tant que membre de Tsuki, niveau 6. Bon jeu Wink

Edit > N'oublie pas de mettre un avatar n.n