Après le feu

Des bruits en désordre... des ombres partout, tantôt éclaircies, tantôt absolues... un mal de tête énorme, une étrange chaleur au creux du ventre... voilà en quelques mots les sensations de Gilgamesh dans cet étrange état à moitié comateux... Tiens, il semblerait que son corps bouge... mais comment? Pourquoi? Par quel transport et pour quelle destination? Le sensei mal en point tente d'y voir clair, masi tout n'est que ténèbres. DAns un grand effort, il fronce les sourcils, et tente de mieux ouvrir ses yeux, qui n'ont de cesse de s'ouvrir et de se fermer... Tiens, qu'est-ce que c'ets que ça devant lui? Une porte... oh, mais il al reconnaît cette porte, c'est celle du bureau du Kage... Gilgamesh veut l'ouvrir, pour lui dire qu'il a échoué.... mais pourquoi a-t-il échoué déjà? Il ne sait plus, seulement il a le sentiment que quelquechose a mal tourné... allons-y, tendons le bras, et ouvrons cette porte ! A, voilà un bras qui pousse l'obstacle... mais, ce n'est aps celui de Gilgamesh ça ! LE sunite tourne difficilement son regard à droite puis à gauche. Il est porté par deux chuunins... Chuunins... sa vision est légèrement embuée, comme voilée. Sa perception des choses aussi... c'est comme si quelqu'un avait allumé un feu dans sa tête et que la fumée l'empêche de réfléchir. Ah, quel beau tableau, pour la première fois, un Destra n'arrive plus à réfléchir ! Mais si, ça va, il arrive encore un peu à voir. Il lutte même, pour pouvoir garder un oeil sur le monde... que voit-il en face de lui? Ah, le décor se rapproche de lui. Ou alors c'est lui qui avance. Sûrement plus probable. Un jeune garçon se tient debout, il était apparemment en conversation avec un vieillard. Le chuunin à sa gauche se met à parler. MAis Gilgamesh, avec toute la bonne volonté du monde, n'arrive plus vraiment à en saisir les informations. Devant lui, l'assistant du Kage écoute, puis ouvre la bouche à son tour.

"...rendre visite après. Bravo, Gilgamesh Destra, pour ...merais Yumee-sama. Pouvez vous l’accompagnez a l’ho...plaies au plus..........."

Les ténèbres se font plus oppressantes...Giglamesh doit garder les yeux ouverts, il doit voir ce qui arrive, même s'il ne comprend plus rien. C'est improtant pour lui, sa dernière attache avec le monde... Mais sa tête est si lourde... il fixe le regard de Reicky, dont il ne connaît pas le nom... avant que le poids ne gagne. Maitnenant, il contemple ses propres blessures... Puis l'intérieur de ses paupières. Si vous saviez comme ces beau, ces rideaux de l'âme. On ne prête jamais attention à cette noirceur rassurante. Les enfants, qui ont peur du noir, ferment les yeux. Ils remplacent une noirceur inconnue par une noirceur familière... Paradoxal comme comportement, non?

Tiens, maintenant, c'est de l'orange qu'il contemple. L'orange du plafond de sable. Aussi orange que le sable du désert, dehors... un désert où coulait le sang... le sang... le SANG???

Soudain très réveillé, Gilgamesh se redresse d'un coup, arrachant sur le coup une transfusion qui était reliée à son corps. La mission ! Le vieillard ! Le mercenaire et son sabre qu'il a planté dans la peau du sensei ! Il ne doit pas rattraper Faryuu, la mission ets un échec, Gilgamesh n'a pas pu l'empêcher de apsser ! C'est dans ceté tat de soudaine peur panique que Giglamesh se met soudain à enlever tous l'attirail médical qu'on lui a grâcieusement délégué, pour finalement se lever, malgré une énorme faiblesse, et tenter d'avancer.

"Faryuu !! Il ne doit pas le capturer ! Faryuu ! MAis, laissez moi passer, j'ai une mission ! Je dois la...termin...LAISSEZ MO....moi...pass.....sserrr...."

Une chose certaine, c'est que les infirmières de Suna sont prompt à réagir avec rapidité. Voyant que Giglamesh tentait d'avancer, se débattant, elles l'ont apaisé d'une piqûre, avant de le remettre dans son lit, et de le rafistoler. Un médecin arrive alors et se penche au-dessus d'un Gilgamesh en sueur, un peu affolé, encore beaucoup perturbé, mais au moins, très calme.

"La...mission...je dois...
-Votre mission est une réussite, Destra-kun. Cessez de vous agiter, vous avez été bléssé assez grièvement, il faut l'avouer ! Vous n'avez plus rien à faire, vous avez été exemplaire de tenacité, en donnant le temps à Faryuu de rejoindre Suna.
-C'est... je...mais...
-Calmez-vous, c'est tout. Vous avez besoin de repos. Vos blessures étaient sérieuses."

Puis le médecin s'en alla, laissant Gilgamesh là. Mais alors que les pas s'éloignaient, d'uatres approchaient. Sûrement une visite improvisée? Qui celà pouvait-il être? Yumee? Altaïr? Reicky, l'assistant de Yumee? Un parfait inconnu? Gilgamesh n'allait sûrement pas tarder à le savoir.

Le visage entre les mains, le garçon esquissa une légère grimace. Le soleil était sur le point de se coucher, et un léger souffle frais balayait Suna. Toute la journée, enfermer dans ce grand bureau, a recevoir des hommes importants, ou on ne devait surtout pas oubliez leurs noms…Il avait finit de classer la paperasse des missions, mais sa tête tournait ! Il se leva, faisant grincer la chaise, et bu un verre d’eau. Ses sandales de ninjas s’enfonça dans la moquette beige lorsqu’il s’approcha de la baie vitrée. Les rues perdaient de leurs activités, et le relaie des gardes s’effectuaient. Il posa son front contre la vitre, appréciant sa fraîcheur. Yumee n’allait pas tarder a rentrer au QG. Il décida de quitter les lieux, bien que, voir la jeune femme lui aurait fait beaucoup de bien. Mais il était un peu mal à l’aise dans ce rôle d’assistant, il avait peur de mal faire, surtout pour celle qu’il aimait. Sa veste de Junin était poser sur la chaise, il ne la mettait que rarement. Saisissant un papier et un crayon, il écrivit un résumé de la journée a la Kazekage. Il hésita a écrire « donner Ryos a Destra ». Il n’avait rien a faire, autant lui apporter maintenant. Soulevant le pot a crayons, il prit la clé ouvrant le 3^e tiroir de la commode. C’était la ou était cacher l’argent pour les missions. Il saisit la somme, et les fourra dans une petite bourse de cuir noir. Passant sa main dans ses cheveux, les ébouriffant d’avantage, il enfila sa veste. Après un dernier regard pour vérifier de n’avoir rien oublier, il ouvrit les grandes portes du bureau. Interpellant un chunin qui tournait en rond dans le couloir, il lui confia la tâche de lire le mot a Yumee. Dévalant les escaliers, il déboucha enfin dans la grande rue.

Un vent léger le rafraîchit. Avec un sourire nostalgique, il constata que sa passion pour les nuages étaient toujours la même. Les voir défiler ainsi, calme, sans tracas l’apaisait. Mais les soirs d’orages, quand ils devenaient gris et se déchirait pour laisser passer les éclairs, il pouvait constater leur puissance. Un point noir sillonna vivement le ciel. Jiko. Son sourire s’élargit quand la silhouette impressionnante du rapace se posa avec élégance sur le toit. Quand on le voyait comme sa, on aurait cru qu’il serait noble et fier. Mais en vérité…il était joueur, un peu naïf, et toujours joyeux. Par petit saut, il descendit de la battisse pour rejoindre le Junin. Avec plaisir il lui rendit son hochement de tête, synonyme de bonjour. L’oiseau ébouriffa ses plumes, et s’inclina, pour permettre a son maître de grimper sur son dos. Car ce n’était pas un aigle ordinaire. Il devait faire deux mètres lorsqu’il se tenait droit. Alors imaginer vous recevoir un coup de serre dans la tête…Saisissant le harnais attaché a son cou,Reiky ferma les yeux. Il aimait sentir le vent violent que provoquait le battement rapide des ailes au décollage. Bientôt, le sol s’éloigna, mais avant que Jiko ne s’envole pour leur habituel promenade hors de Suna, le Junin lui confia qu’il se rendrait d’abord a l’hôpital. Leur mode de communication était simple, il suffisait juste de pensé. Pour exprimer son mécontentement de repousser leur viré, l’aigle s’arrêta brusquement. Reiky, surpris, bascula par-dessus l’encolure du rapace. Le sol n’était qu’a quelques mètres, et il ne s’écorcha que les mains. Il leva les yeux au ciel, cherchant le fautif, mais, rusé, celui-ci était déjà partis. Marmonnant quelques jurons, il franchit les portes de l’hôpital.

Ce fut d’abord l’odeur qui le frappa. On la reconnaissait a mille autres. Mais pourtant, il était impossible a reconnaître. C’était celle qui masquait la mort. Puis la blancheur des murs, la froideur, et la fausseté des plantes vertes qui était plantés au coin. Essayant d’ignorer tous ceci, le garçon s’approcha du comptoir.

« Bonjour, je voudrais voir Destra Gilga… »
« Les visites ne sont plus autorisés, dépasser 19h… »
« Hm, oui je sais mais… »

Avec agacement, le garçon se résigna a sortir de sa poche le tampon officiel de Suna. Ce petit morceau de bois était généralement la clé a toute les portes closes…Il n’ai pas abusé de ceci, mais…c’était parfois utile. La femme se redressa, et lui lança un faux sourire. Il reprit:

« Je voudrais voir Destra Gilgamesh. »
« Chambre 207 »

Lâchant un merci, il s’engagea dans l’ascenseur.
Le poing fermer heurta deux fois la porte en bois massif. Décidant d’oublier les bonnes manières, il ouvrit la porte sans attendre la réponse. Jiko allait être furieux sinon. Il trouva le jeune homme allongé dans le lit, couvert de bandages. Tirant une chaise posté dans un coin, il sourit au garçon qui semblait assez déboussoler. Il sortit de sa poche la bourse et la posa sur sa table de chevet.

« Ca va mieux ? »

Le bruit de pas laissa place à un bruit de heurt. Quelqu'un frappait à la porte. Gilgamesh ne saisit même pas que c'était à lui de dire "entrez", il était encore trop déboussolé pour. Les paroles du médecin venaient de faire un sacré remue-ménage dans sa tête. Aisni donc, la mission était réussie? Bah, il verrait bien celà. Il n'eut pas vraiment le temps de méditer là-dessus, car celui qui avait frappé à la porte était déjà en train d'entrer. Gilgamesh tourna la tête pour mieux le voir, même si celà ne lui était pas foncièrement agréable. Certes, il n'était pas bélssé à la tête, mais le moindre mouvement lui donnait quelques douleurs sur ses plaies bandées. Ah oui tiens, bandées... ça fait bizarre de se voir, enroulé dans ce tissu blanc... on a toujrous tendance à croire que ce sont les autres qui ont ce genre de problème. Jusqu'à ce que celà nous tombe dessus un jour...

"Ca va mieux?
-Je...pour tout dire... disons que... oui, un peu... mais je suis encore... "

Gilgamesh n'arrivait pas trop à trouver ses mots. Il fallait qu'il réorganise ses pensées. Que voyait-il? Une brouse sur la table de chevet, déposée à l'instant par son visiteur. Un visage qu'il avait djéà vu quelquepart...

'Vous...êtes l'assistant de... Yumee? Je vous ai vu... tout à l'heure, dans le bureau... comment va... Faryuu? Et... qu'est-il arrivé? ...J'ai juste.... des bribes de mémoire... c'est encore un peu flou... je me souviens de... Kengo, mon combat... puis il m'a... il m'a..."

C'était encore un peu brouillon, mais Gilgamesh parvint néanmoins à se remémorer que s'il avait combattu, c'était avant tout pour donner du temps à Faryuu, sans se soucier des conséquences pour lui-même. La mission avant tout. Le sensei se souvenait d'ailleurs de ses prorpes mots. "C'est moi ton adversaire" ... Il savait, lorsqu'il avait prononcé celà, quels étaient les risques encourus. Il savait qu'il ne pourrait pas gagner. Il savait, mais il l'avait fait quand même. Finalement, en y repensant, il avait peut-être eu de la chance d'en sortir vivant. Ou bien était-ce parce qu'il était prévoyant? Peut-être les deux...

"Après ça... c'est... confus... je ne me souviens pas de grand chose... c'est gentil à vous... d'être passé... mais... pourquoi venir ici... juste pour me remettre... des ryos? Je ne fais pas ça... pour l'argent... il fallait protéger cet homme...et je l'ai fait."

Gilgy semblait désormais un peu plus stable, mentalement. Ce n'était pas très agréable d'admettre qu'une mesure déséspérée avait fonctionnée, même au prix de blessures.

-Je...pour tout dire... disons que... oui, un peu... mais je suis encore... "

Reiky observait le jeune homme. Il semblait déboussoler, ses yeux vifs passant de la bourse poser sur la table a son visage. Il était mal au point, et son front était tous recouvert de bandage. Des bleus et des contusions le marquait, aux rares endroits dépourvus de pansements. Un rude combat, pensa-t-il. Mais malgré cela, il avait réussis sa mission, surement en s’interposant entre l’homme a escorter et l’attaquant. Comment s’appelait il d’ailleurs ? Oh, et puis il devait aussi aller interroger le mercenaire. Décimer les organisations criminelles était primordiales, et il devra le faire parler. Sympathique la soirée. Mais l’équipe charger de l’interroger avais peut-être réussis a lui faire cracher le morceau…Et l’assistant du Kazekage n’aura qu’a noter le nom, et mettre sa destruction dans les missions de rang S. Peut-être qu’il pourra lui-même l’effectuer ? Il n’avait pas eu l’occasion depuis son arrivé de faire une mission de son niveau, alors peut-être vaudrait-il mieux commencer par une B, ou A… Le chunin le sortit de ses pensés.

'Vous...êtes l'assistant de... Yumee? Je vous ai vu... tout à l'heure, dans le bureau... comment va... Faryuu? Et... qu'est-il arrivé? ...J'ai juste.... des bribes de mémoire... c'est encore un peu flou... je me souviens de... Kengo, mon combat... puis il m'a... il m'a..."

Faryuu ? Hm, sûrement l’homme a escorter. Et Kengo devrait être l’homme qu’il a combattu. Ce garçon avait tous de même battu quelqu’un appartenant a un groupe. Et généralement leurs membres n’étaient pas des tendres. Reiky en avait souvent rencontrés lors de son chemin, et généralement, il évitait les problèmes avec eux, surtout quand ceux-ci était en groupe, armer jusqu’au dent. Bien sur, tous seul, il faisait généralement moins les fier, mais on arrivait rarement a bout. Le chunin semblait peu a peu reprendre ses esprits, et il ne lui laissa pas le temps de répondre qu’il reprit.

"Après ça... c'est... confus... je ne me souviens pas de grand chose... c'est gentil à vous... d'être passé... mais... pourquoi venir ici... juste pour me remettre... des ryos? Je ne fais pas ça... pour l'argent... il fallait protéger cet homme...et je l'ai fait."

Drôle de gaillard, pensa immédiatement le Junin. On voyait bien la son appartenance a une bonne famille. Bien sur, les ninjas faisaient d’abord les missions pour la justice, mais lui qui avait vécus seul, ressentait une rare joie lorsqu’il recevait les ryos qui lui permettait de vivre. La vie était décidément bien injuste. Mais on ne pouvait nier la bonté du garçon. Il n’avait pas renoncé a la protection de l’homme, a l’objectif de sa mission, même s’il devait en mourir. C’était sa un vrai ninja, comme l’imaginait Reiky. Aurait-il fait la même chose face a un adversaire supérieur a son niveau ? Oui, il l’imaginait. Avec amusement, le Junin répondit:

« Pour répondre a toute tes questions dans l’ordre, je dirait oui, je suis bien l’assistant de Yumee-sama »

Il avait légèrement accentué le dernier mot, car ce Gilgamesh, même bon ninja, devrait tous de même exprimer plus de respect envers sa Kazekage, et non pas de la familiarité. Lui n’affichait jamais une éventuel complicité avec la jeune femme en présence d’autre personne. Il préférait ne pas mélanger vie privé et son travail.

« Faryuu va bien, il est directement venu nous prévenir de ta mauvaise posture, et c’est ainsi que les deux chunins t’on emmenés jusqu’à moi, laissant Soma, ton père c’est bien sa ? S’occuper de votre attaquant. Faryuu m’a raconter ton geste héroïque aussi, je t’ai rajouter un peu plus d’argent. Mais si tu n’y tient pas, je peux les reprendre…Les récompenses ne sont que pour ceux qui ont besoin d’être motivé a la vue d’un effort. On agite une carotte devant le nez de l’âne, et de l’argent devant les hommes. C’est peut-être triste, mais même les ninjas ont besoin de vivre…Et tous le monde n’est pas forcément aussi bon que toi. Et puis, sans les ryos, comment remercier les bons ninjas ? »

[désolé du petit post, pas trop d'inspiration & de temps]

"Pour répondre a toute tes questions dans l’ordre, je dirait oui, je suis bien l’assistant de Yumee-sama.
-Yumee-Sama....oui,pardonnez-moi...je...suis encore un peu....désorienté...."

Et surtout, maintenant qu'il était très conscient de son état, la douleur commençait lentement à l'envahir. Se faire empaler à un endroit aussi près du coeur par un sabre n'était jamais une expérience très agréable. Même avec toute la bonne volonté des médecins, la douleur ne pouvait être complètement anihilée. Mais bon, elle était atténuée, c'était déjà ça de pris. Le sunite serra un peu les dents, pour reprendre lentement le contrôle de lui-même, comme on lui avait appris. "Serre les dents lorsque l'on te frappe. Ainsi tu verras le coup suivant venir." Une phrase qui avait souvent fait ses preuves, même si l'application n'était pas forcément aisée, quand on avait l'habitude de fuir les adversaire pour éviter de prendre des coups. C'était toujours un choc que d'être projeté au devant de la scène, face à un adversaire aussi impitoyable. Il se souvenait de rapports de missions, il y a quelques années de celà, où de jeunes genins de Konoha, cpeendant, par leur tenacité, parvenaient à éliminer des adversaires du même gabarit.

Mais Giglamesh n'avait pas éliminé son adversaire. Dans le combat même s'il avait usé ses artéfices les plus improbables, dont sa propre tenue piégée (toujorus une bonne surprise à portée de main !), il avait échoué. Le mercenaire avait fini par lui porter un coup qui aurait pu lui être fatal. Si les choses avaient heuresement bien finies, c'était aprce que lors de l'arrivée du mercenaire, Gilgamesh savait que Suna était proche. Pour cette raison qu'il avait retenu Kengo pour mettre Faryuu à l'abri. Heuresement poru lui, le timing avait été parfait. Des ninjas étaient venu le transporter, et un autre avait intercepté lui-même Kengo, enf aisant une affaire personelle...

"Faryuu va bien, il est directement venu nous prévenir de ta mauvaise posture, et c’est ainsi que les deux chunins t’on emmenés jusqu’à moi, laissant Soma, ton père c’est bien sa ? S’occuper de votre attaquant. Faryuu m’a raconter ton geste héroïque aussi, je t’ai rajouter un peu plus d’argent. Mais si tu n’y tient pas, je peux les reprendre…Les récompenses ne sont que pour ceux qui ont besoin d’être motivé a la vue d’un effort. On agite une carotte devant le nez de l’âne, et de l’argent devant les hommes. C’est peut-être triste, mais même les ninjas ont besoin de vivre…Et tous le monde n’est pas forcément aussi bon que toi. Et puis, sans les ryos, comment remercier les bons ninjas ?
-Faryyu va bien? ....Alors... j'ai malgré tout réussi... Et oui... Soma est mon Père... Je pense... que ce mercenaire a passé.... un salle quart d'heure..."

Destra Soma était le Chef du Clan Destra. Si Gilgamesh était plus versé dans l'art des pièges, Soma lui était incontestablement un Roi du Genjutsus. Il plongeait toujrous ses ennemis dans d'horribles cauchemards. Les plus touchés lors des guerres en devenaient fous à jamais. Les rares dans cet état étaient cependant les seuls fous qui osaient s'attaquer à la famille. Les Destra ne rigolent pas avec ces liens, plus solides que tout chez eux. Même les déserteurs ne reniaient pas le Clan... et le Clan ne pouvait les attaquer. Question d'éthique.

"Pour l'argent... vous avez raison... mais, je vis encore... chez mes parents... donc....donnez-moi seulement ce qui était...prévu... inutile de rajotuer une prime.... donnez la prime à des personnes qui.... en ont réellement besoin..."

La cupidité, l'orgueuil, la jalousie, autant de notions que les Destra, une fois de plus, effaçaients lors de leur éducation.

[EDIT : Sally's Song, vraimnt belle cette chanson.]