Shinobi no Shinnenkigen
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Shinobi no Shinnenkigen

Vers une nouvelle ère des shinobis...
 
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 Quand on arrive en ville...

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Watari Revan
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Watari Revan


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MessageSujet: Quand on arrive en ville...   Quand on arrive en ville... Icon_minitimeJeu 17 Juil - 17:21

Passer cette porte est toujours un moment unique, quelque soit le sens dont on la passe, on ressent toujours un sentiment assez particulier. Lorsque l'on quitte le village, on peut se sentir triste, mais aussi impatient, impatient de découvrir ce qui se cache derrière ce désert que l'on connait si bien, ce désert, dont on connait ses pièges. Et puis, lorsque l'on revient au village, et que l'on repasse cette porte, fort de son expérience acquise pendant son voyage, on se sent alors soulager d'avoir fait tout ce trajet, et puis de revenir à bon port.

Ce jour-là était un jour comme les autres dans le désert, rien ne bougeait, le soleil donnait comme à son habitude, asséchant tout les organismes qui s'y trouve. Une légère briser donner un impression de fraîcheur dans cette aridité. Ce vent soulevait quelques nuages de sables, masquant parfois la vue, pouvant faire perdre ses repères à n'importe qui. Seule une personne ayant grandit dans les alentours pouvait ne pas se faire avoir.

Le désert était toujours aussi morne, aucune âme n'y vivait, cependant, on pouvait apercevoir une forme, une silhouette, un homme avançant lentement dans ce désert. L'homme avançait, la tête baissé, le visage presque entièrement recouvert par son écharpe afin de le protéger du sable qui s'envolait, laissant découvrir simplement ses yeux. Sa cape noire qui trainait dans le sable effacait toute ses traces tandis qu'il portait, par dessus cette même cape, un objet inhabituelle, un bâton, assez grand, orange.

Plus il avançait, plus il découvrait un masse noire à l'horizon, il reconnut tout de suite son village qu'il avait quitter quatre mois auparavant, parti traquer un homme à travers les cinq pays. Quatre mois pendant lesquels il n'avait vécus qu'en tant que chasseur, sans aucune nouvelle de son village. Les choses avaient du bouger depuis le temps. Petit à petit, la forme particulière de la porte du village se dessinait, il allait enfin la passer


*Je suis presque arrivé, enfin...*

L'homme s'approcha de la grande porte, seule moyen de rentrer dans le village, un sourire de satisfaction s'afficha sur son visage, caché par son écharpe.

"Halte, Pouvez vous décliner votre identité?

Un garde lui barrait la route, comme c'était la seule porte, elle était strictement surveillé, ainsi, chaque entrée et sortie étaient notées.

"Altaïr Watari, Chuunin de Suna...

Le garde vérifia dans son registre, puis apercu le bandeau au insigne du village de suna, que portait l'homme autour du cou.Il fut soudainement étonné

"Vraiment mais, vous n'étiez pas attendu pour aujourd'hui, mais bon..

Le garde s'écarta de la route d'Altaïr qui passa alors cette fameuse porte. Il pénétra alors dans les rues du village. Il y avait pas mal de monde qui circulait. Altaïr allait enfin vivre avec des gens, revoir des personnes qu'il connaissait, après quatre mois à avoir vécus seul, ne pensant qu'a une seule personne.

Il pénétra alors dans les rues, marchant tranquillement dans les rues qu'il connaissait si bien, se dirigeant vers son appartement. Il regardait les échoppes, s'étonnait de voir des marchands avoir vendu leur boutique. Tout ces visages lui étaient plus ou moins familier. La vie avait bien continué ici, il lui tardait de retrouver ses anciens camarades de l'académie, et ses collègues de son équipes....
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Destra Gilgamesh
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MessageSujet: Re: Quand on arrive en ville...   Quand on arrive en ville... Icon_minitimeVen 18 Juil - 22:14

Les souvenirs de Gilgamesh. Un domaine vaste et varié, qui comprennait une immense palette memorielle. Celà commençait par ses parents. Soma Destra, l'homme dur au regard froid et à l'attitude autoritaire. Un homme qui avait gagné le respect de quiquonque le rencontrait. A vrai dire, Soma Destra était capable de forcer le respect, tellement il en jetait. Avec sa voix ferme, son visage creusé par les cicatrices et son regard incquisiteur, personne ne contestait jamais ses paroles emplies de sagesse. C'était un des aspects de son père, mais Gilgamesh lui conaissait également l'aspect Chef de Clan attaché à son fils. Pas mal conaissaient à Suna un illusioniste infernal qui avait été renommé pendant la Seconde Guerre des Shinobis. Peu savaient que c'était précisemment cette homme à l'aspect solennel. Et peu savaient qu'il était attentionné envers sa femme et son fils. Certains chefs de Clan pâliraient même de l'intêret et du cocon familial qu'il formait sur son enfant. Après venait la mère, Mya Destra. Comme son père, mais avec la douceur féminine en plus. Toujours tempérée, personne ne pouvait l'entendre hausser la voix. Redoutable en combat, et surtout avec son mari, elle était avant tout une mère protectrice et nourissière. Il était impossible de détester autant de bonne humeur, même recouverte d'une voile de neutralité, une neutralité qui menait souvent à l'objectivité, mais était-ce plus mal? LEs Destra savaient discerner les choses, ce n'était pas pour rien.

D'ailleurs, c'était un autre domaine de souvenirs : les entraînement. A l'âge de sept ans, apprendr eà cacher ses seniments. A faire de son visage un amsque de cire impénètrable. Apprendre à rester calme en toute situation. Apprendre à analyser méthodiquement, et rapidement. Apprendre à réfléchir et statuer sur une situation... Toutes ces capacités étaient acquises après un entrâinement vigoureux de 4 années. Venait alors l'entrée à l'Académie. Deux gammes de souvenirs alors : les souvenirs à la maison. Soma apprenant à Gilgamesh les secrets de ce clan très méconnu qu'étaient les Destra à Suna. Soma qui entraînait son fils avec sérieux, et une fierté pas totalement dissimulée. JAmais un père Destra n'avait blâmé son fils parce qu'il était nul. La aptience et l'attention faisaient partis de l'initiation de tout Destra.
L4entrée à l'Académie, c'était aussi le contact avec les autres. Gilgamesh était resté à l'écart des autres. Il avait toujorus aimé lire avant tout. Les autres le trouvaient bizarre, trop intellectuel, trop mûr pour son âge. Trop détaché de ce qu'est censé être un enfant de 11 ans... Puis venait la constitution d'une équipe de Genin. Avec Watari Altaïr, un des rares de l'Académie qui avait put s'entretenir avec Gilgamesh, les rares moments où celui-ci consentait à quitter se slivres (une fois toutes les deux semaines donc.) Mais l'équipe de Genin, sous la coupolle d'un Sensei, avait moidifé ces liens avec les autres. Il y avait appris le sens du devoir, porutant déjà biena bordé avec Soma et Mya Destra. Il y avait appris ce qu'était al coopération avec des cooéquipiers. Il avait appris ce qu'était un ami. Un ami qui ne lui avait jamais reprocher sa neutralité élevée à un tle point qu'il semblait détaché et absent dans tout ce qu'il faisait -sauf si c'était quelquechose qui recquiérait toute sona ttention et son sérieux.

Oui, Gilgamesh ressassait ces mornes pensées, en se baladant dans Suna. Il repensait à son vieux coéquipier, avant qu'ils ne soient tous deux validés en tant que Chuunin, et donc, sans plus besoin d'être dans une équipe, mais indépendants désormais. Il repensait à Altaïr... d'ailleurs le type là-bas dans la rue lui ressemblait beaucoup... avec son bâton dans le dos, c'était presque une caricature et... attendez...

*Ce.. c'est pas possible???* Et pourtant ça l'était. Gilgamesh, soudain extirpé de ses pensées, avança d'un aps assuré, abandonnant son éternel air neutre et détaché. Il avança jusqu'à arriver au niveau de l'homme, et eu un sourire. Rares étaient les sourires de Gilgamesh. Autant que les fois où il lâchait ses bouquins.


"Altaïr ! Vieille satrape, ça fait un bail dis-moi ! Mais, qu'est-tu devenu depuis ces derniers mois?"
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Watari Revan
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MessageSujet: Re: Quand on arrive en ville...   Quand on arrive en ville... Icon_minitimeVen 18 Juil - 22:49

L'homme au bâton était quelque peu perdu au milieu de cette foule. Ce brouhaha permanent le déstabilisait, lui qui n'avait vécu pendant ces quelques mois dans un seul but. Lui qui avait vécu seul durant cette mission, lui, dont sa seule compagnie était quelques informateurs, des pillards et les quelques cadavres qu'il avait laissés derrière lui. Ce retour à un monde civilisé, où les gens se souriait dans la rue, se disait des bonjours réciproques, discutait de l'éducation de leurs enfants, de l'actualité du village, du court des légumes. Pendant les quatre mois, Altaïr était seul, les rares paroles qu'il avait avait échangé avec des personnes, étaient loin d'être amicale, oubliant tout les codes de politesse ainsi que les titres honorifiques, la discussion se finissant souvent un kunai entre les deux yeux de l'interlocuteur. Ce monde n'était plus le sien, Altaïr était devenu différent, tout doucement, il allait se conformer, mais la tâche allait être délicate.

La première étape de sa réinsertion dans la ville était de reprendre des repères. Certaines choses avaient changées, d'autres non. Il se remémora petit à petit le nom de ces rues, des commerçants, il retrouva même certains magasin d'où il avait totalement oublié l'existence. Mais tout ces repères n'était que physique, ce n'était que de simple repère de l'espace. Il lui fallait retrouver des personnes, des gens avec qui il avait partagé des choses, des souvenirs commun, pour lui rappeler que ce village était le sien, qu'il n'était pas un étranger.

L'homme au bâton était plus grand que toute les personnes qui déambulaient dans la rue. Son pas et son allures étaient hésitants, il cherchait des yeux quelques détails qu'il avait oublier, il regardait attentivement les noms des échoppes. Puis son regard se posa sur un panneau, sur ce panneau était écrit en grande lettre "Bibliothèque". Il esquissa alors un semblant de sourire, comme si quelque chose lui revenait à l'esprit.


*L'engin aimait souvent venir là, je me rappel, toute ces heures à l'attendre à la sortie..*

Un tas de scène défila alors dans sa tête, rapidement, alors qu'il souriait derrière son écharpe. C'est alors qu'un homme de la même carrure qu'Altaïr s'approcha de lui.

*Allons bon, qu'est-ce qu'il me veut celui-là*

C'est à ce moment là qu'Altaïr se mit à réfléchir qu'il n'était plus à la traque. En temps normal, il aurait placer sa dague sous la gorge de l'homme, mais il n'y avait plus de danger maintenant qu'il était dans cette ville, même si son instinct lui dictait d'agir comme tel, il retînt son geste

Puis le visage de l'homme en question apparu à Altaïr qui resta sans bouger pendant quelques secondes, une vague d'image traversant son esprit. l'homme lui adressa quelques mots qu'il ne comprit pas sur le moment, absorbé par son imagination. Les paroles n'étaient que des bruits sourd inaudible. Il se repassa les paroles en tête et compris une chose, son interlocuteur était bien la personne à qui il pensait


"Tiens, v'là l'autre, la dernière fois que je t'ai vu sourire comme çà, c'est quand ton père t'a acheté ce fameux bouquin pour ton diplôme à l'académie...

Un grand sourire mesquin s'afficha sur le visage d'Altaïr alors qu'il tendait la main à "Gilgy"

"Qu'est-ce que je deviens? Et ben, je reviens juste de mission, ca fait environ quatre ou cinq mois que je suis parti, j'ai pas compté les jours, je sais pas quel heure il est d'ailleurs... Et toi, qu'est-ce que t'a inventé de beau depuis tout ce temps?
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MessageSujet: Re: Quand on arrive en ville...   Quand on arrive en ville... Icon_minitimeDim 20 Juil - 21:24

"Tiens, v'là l'autre, la dernière fois que je t'ai vu sourire comme çà, c'est quand ton père t'a acheté ce fameux bouquin pour ton diplôme à l'académie...
-Ahah, oui, je m'en souviens bien. Traité de Genjutsu, édition spéciale de Suna, par G. Tan-Brouye. Un livre passionant. Plus que les autres, je veux dire."


Gilgamesh rayonnait. C'était rare, mais inestimable. Watari Altaïr. Son vieil ami. Qu'est-ce qu'ils n'avaient pas fait ensembles... eux, leur troisième coéquipier et leur sensei commun. A eux quatres, ils avaient voyagé de nombreuses heures ensembles, remplissant des missions aussi diverses qu'interessantes. Chacun avec sa façon d'aborder les problèmes. Celles de gilgamesh était bien évidemment le retrait et l'analyse. Ce qui n'était pas étonnant, d'ailleurs. Quiquonque était élevé dans le Clan destra finissait de la même manière. Calme, réfléchi, analytique, et entouré d'un léger voile de ténèbres. Il paraîtraît même que les grand mystérieux attirent les filles. Bah, allez savoir.

"Oui, un très bon livre... Alors comme ça, tu étais en mission? Ca explique pourquoi je ne t'ai pas aperçu depuis tout ce temps. Tu aurais au moins pu me prévenir. Enfin bon, tu as l'air en bonne santé, je te pardonne. Mais ça devait être une mission plus ou moins entourée de secrets confidentiels pour que je n'en ai pas entendu parler... je me trompe?

Enfin bon, ce n'est pas grave. Moi de mon côté, j'ai rien inventé. Suis allé en mission de temps en temps, je me souviens même de ma première en solo -sans mes parents !- et de son tribut, j'étais revenu le nez cassé. Sinon, on vient également de me nommer Sensei d'une équipe à part entière. Va savoir comment ça va tourner. J'ai le même âge que mes élèves, mais je comprend pourquoi je suis le sensei. Ils sont beaucoup plus impétueux...

Allez viens mon vieux, allons prendre un verre de saké, tu veux? Sauf si tu es trop fatigué pour."
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Watari Revan
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MessageSujet: Re: Quand on arrive en ville...   Quand on arrive en ville... Icon_minitimeLun 21 Juil - 22:40

L'homme au bâton paraissait souriant, il venait de retrouver son compère de toute ces batailles, ami de temps de bon moments passés ensemble, collègues dans de nombreuses missions et galère. Les deux avaient beaucoup travailler ensemble, ils s'entendaient vraiment bien, c'étaient les seules personnes capables de se comprendre mutuellement.

"Mission plus ou moins secrète, il n'y a jamais vraiment eu de secret là dessus. La tâche était difficile, mais, c'était une mission comme je les aime. Un petit retour à l'animalité primaire de l'homme, assassiner un homme après l'avoir traquer pendant de long mois en vivant très sommairement, sans cesse sur le qui-vive, les stages de survie que l'on nous faisait faire m'ont été bien utile"

Altaïr disait ces mots sans aucun sentiment, toujours aussi souriant, comme si la chose eut été normale. Cela dut choquer Gilgamesh, qui devait être habituer depuis le temps. L'homme à la cape noire ne semblait pas se soucier du conformisme qui voulait que chaque homme soit reconnu par ce qu'il en dégage. Altaïr préferrait la vérité, aussi cruelle et inhumaine soit-elle, à l'apparence des choses. On est ce que l'on est, on vit comme l'on est, c'était sa philosophie.

"Sensei dis-tu? Les temps ont changés... Fait-les souffrir comme il se doit...

Altaïr soupira, son regard se perdit dans le vague, pensant à autre chose. Les images de son équipe le premier jour de sa formation traversèrent son esprit. Altaïr et Gilgamesh étaient ensemble, et avaient l'air heureux, Yumee, quant à elle, avait l'air d'être méfiante vis-à-vis des deux garçons qui ne cherchaient qu'a faire sa connaissance.

"Les temps change, tu es devenu Sensei avec une petite équipe, j'exécute des missions assez <> on vas dire, et Yumee... est devenue notre Kazekage...

Sinon, je suis assez d'accord pour un petit Saké, même si cela m'étonne de ta part. Tiens, je t'emmène dans un endroit où il est bon à mes souvenirs, je pense que tu ne doit pas trop connaitre ces endroits là! C'est juste dans l'autre rue, à l'angle là-bas, suis moi...


Altaïr fit un signe de la main a son compagnon lui indiquant de lui suivre, tout en s'avançant dans la foule, très souriant d'être revenu au village et de retrouver l'un de ses amis.

"Jamais fatigué pour un saké... Murmurra-t-il avec une petit sourire sournois, sans que Gilgamesh ne l'est entendu.
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MessageSujet: Re: Quand on arrive en ville...   Quand on arrive en ville... Icon_minitimeSam 26 Juil - 12:31

Gilgamesh s'installa à une table, et Altaïr s'assit en face de lui. Ils étaient reculés dans un coin. Etonamment, Quiquonque de l'extérieur ne voyait plus le visage du Sensei, mais seulement sa carrure, cachée en grande partie par une cape noire élégante. Beaucoup se deamndaient comment cette cape protégeait de la chaleur, car elle était ample, et sa couleur inadaptée, il fallait l'avouer. Mais Gilgamesh lui-même n'en savait rien. C'était une vieille tenue traditionelle de son clan, elle avait appartenue à un de ses ancêtres, un certain Gehan Destra, qui n'avait aps vraiment d'histoire connue, mais dont les qualitées d'assasin n'avait été, à l'époque, plus à démontrer.

Tiens, une bouteille de Saké. Gilgamesh n'avait pas habitude de boire, mais de temps en temps, il le faisait. Il déboucha la bouteille et servit son companion en premier, avant de se remplir unv erre aussi. Puis il porta le liquide à ses lèvres pour l'engloutir tout entier, cul-sec.


"Mouhahah, ça fait du bien par où ça passe. Bon on disait quoi déjà? Ah oui. Je vois le genre de mission que tu as éffectué alors. T'as toujours été un peu plus sauvage que moi. Je suis le civilisé de l'équipe.. toi et Yumee être trop violents pour moi, héhé."

Gilgamesh avait dit ça avec un léger sourire, il taquinait son ami.

"Les temps changent, en effet... Pour mes élèves, non, je ne vais pas les faire souffrir voyons, ce ne serait pas digne d'un Senseï. Je vais juste... les éduqer, disons. Surtout que le fait qu'ils aient mon âge risque de me faire un défaut d'autorité. Mais c'est pas grave, je saurais être un bon Senseï. Si je n'en avais aps les capacités, alors pourquoi aurais-je été nommé?

Quant à Yumee... ouaip, notre Kage. Qui l'eut crût, hein? Mais ça fait longtemps que je ne l'ai pas revue. Depuis son retour, après sa mystérieuse disparition, j'ai bien tenté d'entrer en contact avec elle, mais elle est injoignable. L'emploi du temps d'un Kage... Je ne sais même aps si elle nous en veut encore. Dire qu'elle ne sait même pas la vérité, sinon, pourquoi diable nous ignorerait-elle superbement? Enfin bon... on ne peut rien faire d'autre, n'est-ce pas?"
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Yumee Karage
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MessageSujet: Re: Quand on arrive en ville...   Quand on arrive en ville... Icon_minitimeMer 6 Aoû - 15:35


    Endormie en position fœtale sur une banquette prévue à cet effet, Yumee s’était laissée allée aux bras de Morphée l’espace de quelques heures, comme pour rattraper sa nuit perdue à régler quelques problèmes d’une importance certaine. A ses côtés somnolait également Shindô, ce grand loup blanc au pelage long, à la musculature imposante. L’animal observait la jeune fille avec une tendresse non négligeable ; et à vrai dire il profitait de sa présence et la dévorait des yeux, quitte à manquer de sommeil. Cela ne faisait pas si longtemps que les deux êtres s’étaient retrouvés, et leurs liens n’avaient fait que grandir encore plus depuis ces retrouvailles. Et puis il y avait aussi Reicky…Reicky et sa présence si réconfortante, qui lui avait tant manqué. Aujourd’hui il était là, lui aussi. Dans son cœur, dans son esprit. Il ravivait son espoir et son bonheur, rallumait cette flamme qui petit à petit s’était éteinte. Ce fût d’ailleurs sur ces pensées que la jeune Kazekage se réveilla, bousculée par une paire de mains gauches qui la secouait légèrement. Elle ouvrit lentement ses paupières, tenta d’observer la personne qui venait de surgir au travers de ses rêves. Elle se redressa, repoussa vivement les mains posées sur son épaule, et se frotta les yeux ; tandis que Shindô s’asseyait à ses côtés, observant sans mauvaise méfiance le Juunin qui était à l’aide de sa maîtresse.

    « Kazekage-sama, je suis désolé de vous réveiller, mais vous avez dormi plus longtemps que vous ne l’aviez demandé. Il se fait déjà tard dans l’après midi, il vous faut vous lever au risque de ne pas dormir cette nuit…
    - Très bien, alors je vais aller faire un tour dans le village. Je te remercie, Iori, tu peux partir maintenant si tu veux… »


    Un sourire d’encouragement apparu sur son visage, illuminant ses yeux voilés. Le ninja ne se fit pas prier, s’inclina et disparu derrière la porte, n’oubliant pas au passage de prévenir quelques gardes de la future expédition de Yumee. Comme elle venait de le dire, elle allait se promener, se dégourdir les jambes, et aller à la rencontre des villageois ; comme elle avait souvent l’habitude de le faire. Manger quelques râmens et grignoter des dangos étaient aussi au programme, parce que son instinct enfantin et gourmand n’avait pas vraiment disparu de sa personnalité, chose que certains lui repprochaient parfois. Mais elle n’allait pas changer son caractère pour une poignée de mécontents, n’est-ce pas ? Elle avait suffisamment modifié quelques traits de son être, ce qui lui avait coûté pas mal de souffrances et de mal être. Elle n’avait plus envie de ressentir cette douleur, même si elle s’était un jour avérée utile… Yumee se retrouva sur pieds très vite, et traversa les couloirs comme une ombre, suivie de l’immense loup blanc qui, parfois, devait se courber pour pouvoir passer tranquillement les portes ou les arches. Très vite, elle se retrouva à l’air libre, ses cheveux bruns aux quelques reflets roux et blonds étant soulevés par une brise fraîche et terriblement agréable, au vu de la chaleur qui régnait habituellement à Suna. Elle se mit à avancer vers les rues qui s’annonçaient très peu bondées, talonnée de près par deux ninjas progressant discrètement dans la foule ou sur les toits, la surveillant du coin de l’œil. Juste au cas où.

    «…sa mystérieuse disparition, j'ai bien tenté d'entrer en contact avec elle, mais elle est injoignable. L'emploi du temps d'un Kage... Je ne sais même pas si elle nous en veut encore. Dire qu'elle ne sait même pas la vérité, sinon, pourquoi diable nous ignorerait-elle superbement? Enfin bon... on ne peut rien faire d'autre, n'est-ce pas ? »

    Ce fût alors ce morceau de conversation qui la fit s’arrêter brusquement au milieu d’une allée, alors qu’elle était bien prête à aller dans le restaurant de râmens le plus proche. Les habitants évitèrent de se heurter à elle, se demandant pourquoi leur Kage s’arrêtait aussi promptement, et que son sourire s’était terni. Les deux ninjas quant à eux se frayèrent un chemin pour la rejoindre. En guise de réponse, Yumee tourna ses yeux voilés vers eux, leur indiquant par la suite qu’ils ne devaient pas s’inquiéter, qu’elle allait bien, et qu’il ne fallait pas interférer dans ses faits et gestes pour l’instant. Shindô étant tout aussi perplexe que les hommes, il bouscula son épaule de son museau, cherchant des explications. Mais elle ne dit rien, persuadée que les voix qu’elle venait d’entendre lui étaient connues, qu’elle les avaient déjà entendues quelque part un jour… Gilgamesh, Revan ? Ses anciens coéquipiers ? Ceux qu’elle avait toujours détesté pour l’avoir laissée à Kiri alors qu’elle était partie au secours de quelqu’un ? La jeune fille se retourna, et immédiatement croisa le regard de ces fameux jeunes hommes. Les mauvais souvenirs vinrent pulluler dans son esprit, mais elle se souvint les paroles de Gilgamesh, ce tronçon de conversation qu’elle avait, sans le vouloir, volé. Elle les observa, sans rien dire. Parce que d’après lui, il y avait une autre vérité… ?

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Watari Revan
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MessageSujet: Re: Quand on arrive en ville...   Quand on arrive en ville... Icon_minitimeMer 6 Aoû - 17:36

-Violent, violent, c'est vite dit, je ne suis quand même pas...

Revan stoppa net, il portait son verre à ses lèvres, s'apprêtant à le boire d'un trait, mais lorsqu'il vit le visage de son compère, tout souriant, il s'arrêta et resta comme figé pendant quelques secondes.

-Tu veut dire que... Le shinobi ne continua pas sa phrase, qui fut conclue par un bref signe de tête de Gilgamesh, en signe d'acquiescement. Revan n'aurait jamais cru qu'il était aussi sauvage que ce que Gilgamesh laissait entendre. Mais cette pensé fît légèrement sourire Revan qui but son verre de saké d'une gorgé, puis le reposant.

*Sauvage, vais t'montrer si je suis sauvage moi...* pensa-t-il alors tout en souriant.

Revan écouta alors attentivement les sages paroles du maître Destra. Il y avait toujours eu une différence entre eux. Gilgamesh était sur d'avoir des problème d'autorité vis à vis de ses élèves, mais ca ne le dérangeait vraiment pas plus que ca.


-Tu es vraiment un cas toi, affirma le shinobi au bâton. A ta place, j'aurais certainement essayé de leur montrer qu'il me devait du respect. C'est peut être ce qui a toujours fait la différence entre toi et moi. C'est peut être pour cela aussi que nous suivons des voies différentes. Toi, tu deviens Sensei, tu t'entoure d'amis et de collègues, moi, j'opte plutôt pour le travail seul, discret et anonyme, comme c'est fameux ANBU. On a toujours été différent, c'est peut être grâce à ça que l'on s'est bien entendu depuis notre enfance...

Une foule de souvenir firent alors leur apparitions dans l'esprit de Revan, se rémémorant alors les cours à l'académie, Gilgamesh suivant les cours avec sérieux, Revan somnolant presque. Les deux académiciens se retrouvèrent alors dans la même équipe plus tard, éxécutant des missions ensemble, toujours dans la bonne humeur, jusqu'au grade de Chuunin, où les deux amis se séparèrent un peu, exécutant des missions chacun de leur côté. Revan étant rarement dans l'enceinte du village, il ne savait pas vraiment alors ce que faisait son ami d'enfance.

Les deux Chunnins continuèrent de parler, même si Gilgamesh parlait beaucoup plus que Revan, comme d'habitude, qui se contentait très souvent d'écouter plutôt que de palabrer. L'endroit était très peu fréquenté, il pouvait passer un vrai moment à leurs aises, discutant très tranquillement, buvant un très bon saké.

Revan reprit alors la bouteille, resservant un verre à Gilgamesh, puis s'en servant un lui même alors qu'il l'écoutait parler de la Kazekage actuelle du village, Yumee Karage, leur ancienne coéquipière, qu'il n'avait revut depuis fort longtemps, celle-ci en voulant beaucoup aux deux hommes de l'avoir laissé dans un hôpital à Kiri. Ils n'avaient jamais compris pourquoi cette femme Ninja leur en voulait autant. Depuis, il n'eurent aucune nouvelle, mis à part celle de son enlèvement,où ils tentèrent autant que faire se peut de la ramener, mais il échouèrent. C'était la dernière nouvelle qu'ils eurent d'elle, mis à part bien sur sa promotion au poste de Kazekage du village.


-Il n'y a qu'un moyen de savoir si elle nous en veut encore... Revan but son verre de saké et reprit. Tu vas lui demander, et si tu t'en ramasse une, c'est qu'elle nous en veut encore...

Revan souria, tout comme son compère Gilgamesh, tout deux se rappelait pertinemment qu'il ne fallait pas énerver la dame, tout deux en avait fait mainte fois les frais.

Le Chunnin s'adossa confortablement contre le mur derrière lui, et observa la rue qui elle non plus, n'était plus très fréquenté à cette heure. Il aperçût alors une personne qui s'était arrêté, une femme apparemment, accompagné d'un loup à en juger l'allure et la forme. Tout ceci semblait lui rappeler une personne, une personne que les deux Shinobi avaient très bien connu. Revan ne dit plus un mot quand il l'a vit, Gilgamesh le regarda alors, étonné et interrogé de ce qui arrivé à son compagnon mais fît le même raisonnement que ce dernier lorsqu'il aperçût à son tour cette personne et cette forme.
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MessageSujet: Re: Quand on arrive en ville...   Quand on arrive en ville... Icon_minitimeJeu 7 Aoû - 18:22

Peut-être que je suis effectivement un cas, si c’Est-ce que tu persiste à croire, Revan. Après tout… j’ai peut-être un autre mode de raisonnement logique tout simplement. N m’a toujours dit que j’étais bizarre… Moi je ne trouve pas pourtant, tu sais, je me comporte comme je suis, et c’est au final ce qui importe.
Ensuite, pour ms élèves… tu crois vraiment que je ne les disciplinerais pas? Je dis juste que j’aurais du mal, pas que c’est un défi impossible. Il se trouve d’ailleurs que le Genjutsu est une très bonne alternative à l’obéissance primitive. J’en suis désolé, mais bon, quand on insinue que je suis une nurse, il faut que je prouve que je suis le professeur non? Après tout, je dois établir mes bases. J’aurais du mal… mais j’y parviendrais.


En temps normal, Gilgamesh n’était jamais réellement bavard. LA plupart du temps, il était renfermé, absent, limite planant. Plusieurs fois, Revan avait dû se demander si Gilgamesh n’était pas en train de rêver éveiller. Mais à ses amis, Gilgamesh ne pouvait s’empêcher de parler. Et puis bon, lorsqu’il parlait, c’est en général très peu inutile. Un trait de caractère un peu complexe à analyser en somme. Un coup absent, un coup présent, un coup je parle, un coup je me tais… En fait tout dépend des situations. Le sunite est très polyvalent. C’est d’ailleurs son propre : s’adapter à tout. Y compris dans ses relations sociales donc… même s’il préfère le silence doux et apaisant du vent, face à une bonne conversation. Gilgamesh a un esprit solitaire, mais autre que celui de Revan. Revan serait plus baroudeur, Gilgamesh lui est très renfermé.

Pour notre enfance.. C’est vrai que c’est peu commun que des caractères opposés comme les notres se soient entendus aussi bien. Je me souviens encore quand à l’Académie, tu me demandais les réponses… quand on était genins, alors que toi et parfois même Yumee m’attendiez devant la bibliothèque… vous n’avez jamais vraiment compris que la lecture contient le savoir de l’humanité, ajouta Gilgy dans un petit sourire. En plus… techniquement je devrais être jaloux de toi. Moi, j’ai beaucoup étudié pour réussir, alors que toi tu n’étais pas sérieux. Tu as un meilleur potentiel que moi, tu vois. Mais je ne connais pas la jalousie. C’est une valeur inconnue de mon Clan. Tout comme cette chose là…la moquerie. Par exemple sur Yumee. On est les deux seuls qui à l’époque avions du respect pour sa cécité. Je sais d’ailleurs très pertinemment que cela affute ses autres sens. Comme je le fais moi-même en entraînement.

D‘ailleurs, en parlant de Yumee… Pourquoi ce serait à moi d’aller lui demander, surtout dans l’option où je me prendrais une tarte? J'ai déjà été assez traumatisé par son Taijutsu il y a des années, merci, mais je peux m’en passer ! De ,plus… je viens de te dire qu’elle est injoignable. L'administration est lente… et elle est souvent occupée. Ou bien, demande à ne pas être dérangée, ce qui est fondamentalement indifférent, mais amène au même résultat… 

A moitié souriant encore, Gilgamesh se resservi un verre d’alcool, puis le but, lorsqu’il remarqua que l’attitude de Revan avait changé. Qu’avait vu son coéquipier pour qu’il réagisse ainsi? Il observait la rue… Tournant à peine la tête, son sens d’analyse ne put louper l’encadrement dont une jeune fille faisait l’objet, une garde rapprochée en somme. Le Kazekage Karage Yumee était là… et Gilgamesh compris rapidement, à son air moins jovial que celui que la légende lui attribuait, qu’elle avait sûrement entendu la conversation, puisque son ouïe était de loin la plus développée de tout le village, voir de la région. Lorsqu’il comprit ça, il s’était passé moins d’une demi-seconde, et Gilgamesh s’étouffa soudain dans un grand toussotement.

" HMPHKK ! Yu…YUMEE ??? Pardon, Kazekage Sama ! "

Gilgamesh était à moitié choqué, mais il retrouva malgré tout rapidement son sang-froid. Zut, pour une fois qu’il le perdait, alors que depuis l’âge de sept ans il apprenait à se contrôler.
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MessageSujet: Re: Quand on arrive en ville...   Quand on arrive en ville... Icon_minitimeDim 17 Aoû - 19:40


    Yumee les observait parler, comme si de rien n’était. Elle n’ignorait pas que le gérant la regardait d’un œil mauvais, comme si la présence de la Kazekage avait mauvaise influence sur toute la clientèle ; mais c’était surtout qu’elle était fixe, qu’elle ne bougeait pas, et que Shindô, de sa taille respectueuse, faisait bel et bien peur. L’animal prit d’ailleurs l’initiative de se coucher à l’ombre d’un toit, histoire de ne pas trop attirer l’attention ; parce qu’il avait sentit que la jeune femme en avait bien pour un moment, et ce même si elle restait debout comme une statue décorative. Pourtant, il fallait qu’elle bouge, qu’elle fasse quelque chose ; pour les espionner silencieusement. Mais elle ne buvait pas de Saké tout les quatre matins, et c’était là une bien mauvaise habitude qu’elle prendrait à aller s’installer à une table. Elle baissa les yeux, et fit un geste à son compagnon ; ils allaient partir et ne pas s’attarder.

    « Il n'y a qu'un moyen de savoir si elle nous en veut encore... Tu vas lui demander, et si tu t'en ramasses une, c'est qu'elle nous en veut encore.... »

    Ce fût indignée qu’elle releva la tête, bien décidée à ne plus partir et à régler ses comptes maintenant. Quoi ! Mais elle n’était pas si brute que ça, quand même ! Alors qu’elle s’approchait légèrement, les deux jeunes ninjas continuaient de discuter, peu soucieux de cette silhouette qui s’approchait sensiblement d’eux, d’un pas fluide et particulièrement lent, de manière à se fondre avec les clients en mouvements.

    « D‘ailleurs, en parlant de Yumee… Pourquoi ce serait à moi d’aller lui demander, surtout dans l’option où je me prendrais une tarte? J'ai déjà été assez traumatisé par son Taijutsu il y a des années, merci, mais je peux m’en passer ! De plus… je viens de te dire qu’elle est injoignable. L'administration est lente… et elle est souvent occupée. Ou bien, demande à ne pas être dérangée, ce qui est fondamentalement indifférent, mais amène au même résultat… »

    Elle était de nouveau fixement debout, observant d’un regard presque normal les deux ninjas qui buvaient en racontant de telles choses sur elle. Des choses qui lui paraissaient à la fois vague, réalistes et incompréhensibles, qu’elle voulait absolument éclaircir tout de suite à moins de passer des nuits blanches où son cerveau passerait la plupart de son temps à cogiter sur tout ça. Elle comprit très vite au silence que tout deux l’avait désormais remarquée.

    « HMPHKK ! Yu…YUMEE ??? Pardon, Kazekage Sama ! »

    L’équipe était au complet, elle pouvait les insulter mais elle évita toutefois cette option, même si la colère grillait ses capacités de calmes et de sang froid. Très vite, on pu remarquer des ronces fanées pulluler dans les verres respectifs de Revan et de Gilgamesh – en guise de punition, si puérile soit-elle -, et s’approcha d’eux. Elle leva une main, comme pour les gifler chacun leur tour, mais laissa reposer son bras contre sa hanche. Son regard se fit plus calme, plus triste même ; elle les regarda avec cet air si enfantin et si naturel qu’elle avait toujours adopté avec eux. Un air respectueux ; mais qui demandait aussi du respect, voir même de l’attention. Kazekage-sama n’était pas un respect qu’elle appréciait plus que ça.

    « C’est vrai, j’ai été si dure que ça ? Mais il faut me comprendre, vous m’avez laissée tomber alors que j’ai accompagné quelqu’un à l’hôpital. Vous êtes repartis à Suna sans même vous soucier de ce qui pouvait bien m’être arrivé. J’ai toujours su que notre équipe tomberait en lambeau comme ça, qu’un jour ou l’autre vous ne vous soucierez plus de moi, et que vous partirez sans même vous retourner. Ca a toujours été ainsi, je ne vois en quoi cela changerait. Vous étiez parfois agréables, parfois naïfs. Ca m’amusait, j’ai cru qu’on aurait pu être de bons amis… Une équipe…liée. »


    Elle se tu, rapporter de tels souvenirs lui faisait mal au cœur et elle estimait que des retrouvailles ne devaient pas se présenter comme ça. Mais qu’importait, elle voulait savoir, comprendre…

    « Ce que vous prétendez être la vérité…qu’est ce que c’est ? »

    Un silence qu’elle n’apprécia pas la fit frémir, il était vrai que tout deux ne l'avaient probablement jamais vu dans un tel état ; parce qu'elle s'était toujours forcée au sourires adorables, avant, et ce même en étant furieuse ou triste. Pour ne pas décevoir son sensei, et son équipe.


    « Répondez moi ! »

    Un ton mi suppliant mi mauvais, qu’elle n’avait pas employé depuis un moment. Non, depuis que Nadiro lui avait apprit à ne pas dévoiler les sentiments les plus idiots et insignifiants de sa personne, elle n’avait plus jamais parlé ainsi à qui que ce soit. Tout autour, certaines personnes les regardaient, se demandant pourquoi la Kazekage agissait ainsi avec deux ninjas qu’elle avait l’air de bien connaître. Et très vite, les deux Anbu apparurent dans l’entre bâillement de la porte, attirant la curiosité des badauds. Aussi, pour laisser Yumee en paix avec ses deux anciens camarades, ils prirent d’eux même l’initiative d’aller discuter avec ces citoyens buveurs de saké et d’alcools forts.
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