Départ de Reicky

Le garçon fourra dans son sac des explosifs, ses kunaï, a boire, a manger, pour lui et pour Shindô, et surtout les deux parchemins qui contenaient l’invocation des aigles, et l’histoire de sa famille. Tous l’inutile, il le mit dans un sac plastique. Un dernier regard a son appartement. C’est ici qu’il était venu, triste quand il avait perdu Zankuu. Ici qu’il s’était coucher heureux en pensant a Yumee. Ici qu’il avait passé ses nuits blanche, le sceau brulant, et les paupières lourdes. Finalement, il ne regretterait rien de cette demeure. Il ferma à clés la porte, et descendit les deux étages, trainant son sac et le pochon de déchets. Il frappa à la porte du concierge, et glissa sur le bureau la clé, et une lettre qui contenait son loyer. L’homme avait à peine eu le temps de lever les yeux pour voir son interlocuteur que Reicky était déjà partit. Il se retourna, soupira, vers l’immeuble. Il faisait partit des rares survivants du cataclysme qui avait détruit Suna. Il avança péniblement dans la foule habituelle de gens. Mais avant, ce n’était que des gens presser et chic, maintenant, des personnes sans travail et sans domicile, qui connaissait la misère et la mort. Il sentit le tissu de sa veste se tendre. Aussi rapide que l’éclair, il arrêta le geste du voleur. Sa main de métal se serra, faisant des traces écarlates, sur la patte…d’un gamin. Les cheveux ébouriffés, essayant avec colère de se dégager. Des traces de boues sur les joues et sur ses modestes habits. Il dut relâcher son étreinte, car le gosse parvint à détaler, jetant par-dessus son épaule, des cous d’œil affolé. Il regardait autour de lui. Il avait honte de laisser son village dans un tel état. Les maisons en ruines, ou s’entassais poutres bruler, meubles, et cendres. Les rares maisons encore debout était toute en mauvaise état. Certaines avait leur moitié briser, d’autres était noircit par la fumée noirâtre qui avait envahit Suna lors du feu. Le soleil brillait, comme a son habitude, et un souffle d’été qui aurait du rendre les Hommes joyeux sonnait comme faux dans ses rues dévaster. Les familles vivaient dehors, ou s’entassait dans les gymnases. Et lui, avec sa béquille, les vêtements tachés et déchirés, trainant sa jambe –qui avait été écrasé par une poutre lors de la bataille- ne faisait pas meilleurs figures. Et puis il y avait ses familles, partis pour quelques jours a l’étranger, qui découvrait ce Suna dévaster, qui apprenait la mort de leurs amis…Il s’en voulait, de ne pas être avec ses ninjas en train de déblayer les rues, a la recherche d’un enfant encore vivant. Mais il ne pouvait plus vivre ainsi. Être un ninja parmi les autres, qui n’existait même plus… Il sentait sur sa main, le souffle chaud de Shindô. Les gens s’écartaient, et les enfants essayaient de toucher ce pelage, qui avait l’air si chaud, si réconfortant. Il poussait un petit cri, et partait en courant, mi terrifié, mi amusé, quand le grand loup se retournait vers eux. Mais Reicky avait appris que la chaleur animale ne protégeait que s’il nous appartenait. Le loup n’était avec lui, qu’une aide, une protection, et n’obéissait qu’à l’ordre de Yumee. Yumee… la tristesse, mêler a la colère s’empara de lui, le faisant frissonner, malgré la chaleur. Il n’avait pas su la retenir, et maintenant, elle était surement morte. Et puis, si elle ne l’était pas, Reicky ne savais même pas comment il réagirait. Il aperçut les portes de Suna, a quelques mètres d’ici. Mais…ils étaient fermés ! Il s’approcha des deux gardes, montrant son bandeau de Suna, et espérant qu’ils ouvrent.
« Je dois sortir. »
« Sauf autorisation spécial, personne ne peut entrer ni sortir. Tous les ninjas doivent aider a la reconstruction de Suna »
Reicky sortit de son sac une lettre. Il enleva le sceau rouge, et déplia le papier. Le long texte, qui l'autorisait a quitter Suna, pendant deux ans maximum. En bas de la feuille, la signature du Kazekage de remplacement. C'était un jounin, qui avait été grader, un peu précipitamment, en attendant une aide extérieur. Il avait signer le document a la vas-vite, trop occuper par les soucis d'un Kazekage. Le garde jeta un coup d'œil au document, et poussa la lourde porte. Reicky reprit le document, et, suivit de Shindô franchit l'enceinte de Suna. Sa y est… Il était dehors. Pour combien de temps ? Lui-même ne le savait pas. Il prit une poignée de sable, qui laissa couler entre ses doigts. Il essuya ses yeux, et sans se retourner, se mit en route.[/i]

Dans le ciel bleu, un point noir. Ce point grossissais, jusqu'à ce qu'on puisse distinguer son origine. Une énorme aigle, planait au dessus du désert. Chose encore plus bizarre que sa taille, c'était le ninja, percher sur son dos, qui cramponner a la sangle attacher autour du cou du rapace. Pour compléter ce tableau étrange, un loup blanc, de la taille d'un cheval, galopait sur le sable brulant.
Le sable s'étendait a perte de vue, la chaleur était harassante. Mais en face de Reicky se trouvait son objectif. Suna. Les remparts imposant se dressait a l'horizon. Il avait mis plus de 6 mois pour aller a Ta no Kuni, il lui en avait fallu 1 pour arriver ici. Il faut dire que son objectif était beaucoup plus motivent. Il allait retrouver Yumee et son village...Pourtant, ces quatre semaines lui avaient parus extrêmement longue. Il ne dormait plus, a l'idée de serrer dans ses bras celle qu'il aimait. Il avait peur que l'homme eut mentis, il doutait que ce bonheur soit vrai. Pendant un an, sans nindô, il avait errer, et cette joie le comblait, remplaçait ces années précédente. Il avait trouver Jiko, son aigle, son futago, et le soir d'après, il avait entendu "Yumee Karage". Il lui semblait que Shindô se surpassait chaque jour, galopant au même rythme que l'aigle. Il devait sentir sa maitresse, et il avait doubler de vitesse lorsqu'il avait vu le désert. Reicky vivait avec un nœud constant a l'estomac. Il était si impatient !
Le visage de Yumee hantait ses nuits et ses jours.Malgré ceci, il y avait l'angoisse. Oui, car si lui avait passer toute cette année a penser a elle, ce n'était peut-être pas partagé. Car peut-être que pour Yumee, le garçon n'était qu'un amour d'un été, quelqu'un qu'on oubli...La curiosité aussi. Comment s'était arrangé Suna, comment été rentré Yumee. Elle avait tous de même enlever par l'akatsuki, et elle avait un bijuu en elle ! Et j'imaginais mal l'uchiha la relâcher. Et puis, cet homme au visage d'ange...La colère tira ses traits fins.Et si elle avait changer ? Qu'elle était devenus cruelle, comme les membres de la lune rouge ? Elle avait du vraiment évoluer. Elle sera désormais sa supérieur. Cela l'aurait mis hors de lui quelque année auparavant. Cela lui aurait rappelle sa sœur. Mais il s'était débarrasser des ces craintes d'antan. Non, ce qui lui ferait bizarre ce sera de l'appeler sensei. Oui, car il était toujours genin.
Les barrières de Suna se rapprochaient de plus en plus. Les ailes de Jiko battirent plus vite, mais Reicky avait pris l'habitude de se mettre un peu avant, pour éviter que les égides battent ses jambes. Sous l'influence du vent qu'il provoquait, le rapace se posa dans un nuage de sable. Shindô arriva au galop. Le museau tendu vers le ciel, ses yeux écarquiller, il reconnu son village. Les gardes regardaient le ninja avec étonnement. Il s'approcha d'eux, et sortit de son sac son bandeau frontal de Suna. Il ne l'avais jamais porter lors de son voyage, pour éviter les regards. Umi"shi" avait penser a tous, et lui en avait fait un nouveau. Il le montra aux gardes, et ce fut avec un grand plaisir qu'il le rattacha a son cou. Le premier garde lui demanda son nom et après sa réponse et un coup d'œil dans le bingo book de suna, il déclara, les sourcils froncés.
"Tu as quitté Suna il y un an et..."
"Oui avec autorisation"
Coupa le jeune homme en lui glissant sous le nez le parchemin signer par l'ancien Kazekage. Il fit une moue, puis, me donnant le papier, se recula de quelques pas pour me laisser passer.
Suna. Le coup de vent qui l'avait détruit avait disparu. Les maisons avaient repris leur place, recouverte de ce sable jaunâtre, laissant apercevoir le désastre d'il y a un an, par des travaux, au coin des rues. La chaleur étouffante changeait du froid des pays alentour de Kiri. Et le bruit, qu'il avais jadis détesté lui faisait tellement de bien ! Marchant lentement, indifférent au gens qui le bousculait, il se laissait envahir par le bonheur d'être ici. Puis, l'image de Yumee revint. Laissant Jiko découvrirent son nouveau village, je sauta sur le dos de Shindô, qui galopait déjà dans les rues.

HRPG: Mini post, mais la flemme de faire plus
Personne ne répond s'il vous plait HRPG

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